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Meilleur que le Chocolat (Better Than Chocolate)

Can. 1999. Comédie sentimentale de Anne Wheeler avec Wendy Crewson, Karyn Dwyer, Christina Cox. Une jeune aide-libraire ne sait comment annoncer à sa mère qui vient s'installer chez elle qu'elle est lesbienne. Situations amusantes mais insuffisamment développées. Réalisation peu inventive. Interprétation sympathique.

13 ans + (érotisme)
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Meilleur que le Chocolat (Better Than Chocolate)

13 ans + (érotisme) 13 ans + (érotisme)

Can. 1999. Comédie sentimentale de Anne Wheeler avec Wendy Crewson, Karyn Dwyer, Christina Cox.

Une jeune aide-libraire ne sait comment annoncer à sa mère qui vient s'installer chez elle qu'elle est lesbienne. Situations amusantes mais insuffisamment développées. Réalisation peu inventive. Interprétation sympathique.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
Motion International
Habitant à Vancouver, où elle travaille dans une librairie s'adressant à une clientèle lesbienne, Maggie, dix-neuf ans, trouve l'amour en la personne de Kim, une artiste itinérante un peu plus vieille qu'elle. Elle se lie également d'amitié avec Judy, un chanteur transsexuel amoureux de Frances, la propriétaire de la librairie. Les choses se corsent lorsque sa mère, venant de divorcer, s'installe chez elle avec Paul, son jeune frère. Désemparée, Maggie ne sait pas comment lui annoncer son orientation sexuelle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Autrefois cantonné dans les festivals spécialisés ou le réseau des salles art et essai, le cinéma gay et lesbien devient beaucoup plus commercial. Ainsi, la cinéaste Anne Wheeler, reconnue pour ses préoccupations sociales, signe ici une comédie sentimentale qui s'apparente à certains produits hollywoodiens grand public. Car, en dépit de quelques scènes érotiques, le but des auteures n'est pas de provoquer mais plutôt de rire des heurs et malheurs associés à la communauté lesbienne, égratignant au passage l'excès de zèle manifesté par les douaniers canadiens et dénonçant une certaine forme d'intolérance. Toutefois, les situations amusantes demeurent souvent insuffisamment développées tandis que le dosage entre les scènes drôles et celles plus dramatiques laisse à désirer, surtout vers la fin. Sans compter qu'il est difficile de croire à l'incrédulité de la mère devant tant de faits évidents. Manquant d'originalité, la mise en scène s'efface constamment au profit des personnages, campés par une distribution fort sympathique.

Texte : Jean Beaulieu

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