Just Like a Woman

Name: Just Like a Woman
Director: Christopher Monger
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 106 min.

G.-B. 1992. Comédie de moeurs de Christopher Monger avec Adrian Pasdar, Julie Walters, Paul Freeman. Rejeté par son épouse qui le croit infidèle, un jeune financier qui s'adonne au travestisme tombe amoureux d'une divorcée délurée. Scénario empreint d'humanisme. Traitement rafraîchissant quoique parfois moralisateur. Réalisation rythmée. Interprétation enjouée et crédible.

Just Like a Woman (Just Like a Woman)

Général

G.-B. 1992. Comédie de moeurs de Christopher Monger avec Adrian Pasdar, Julie Walters, Paul Freeman.

Rejeté par son épouse qui le croit infidèle, un jeune financier qui s'adonne au travestisme tombe amoureux d'une divorcée délurée. Scénario empreint d'humanisme. Traitement rafraîchissant quoique parfois moralisateur. Réalisation rythmée. Interprétation enjouée et crédible.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1992

Durée :

106 min.

Réalisation :

Christopher Monger

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Adrian Pasdar
Julie Walters
Paul Freeman

Rejeté par son épouse qui le croit infidèle parce qu'il cachait des sous-vêtements féminins dans ses effets personnels, le jeune financier Gerald doit se chercher un nouveau logis et espérer qu'il saura mieux dissimuler à l'avenir son penchant pour le travestisme. Mais cela ne s'annonce guère facile lorsqu'il tombe amoureux de sa logeuse, Monica, une divorcée assez délurée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien que le sujet rappelle autant LA CAGE AUX FOLLES que GLEN OR GLENDA, la similitude s'arrête là, car le traitement de JUST LIKE A WOMAN ne s'apparente en rien aux oeuvres précitées. Le film échappe aux pièges de l'humour facile et «homophobe» que pratique d'ordinaire ce genre de comédie de moeurs. Ici, l'humanisme prime et si certains aspects du scénario s'avèrent peut-être un peu moralisateurs, l'entreprise n'en demeure pas moins rafraîchissante. Formellement, cette comédie n'invente rien, mais on y dénote cependant un bon sens du rythme. L'interprétation est non seulement enjouée et crédible, mais elle sait se faire parfois touchante.

Texte : Johanne Larue

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