Qu'il est dur d'être farceur (Morgan Stewart's Coming Home)

Name: Qu'il est dur d'être farceur
Director: Alan Smithee
Genre: Comédie
Duration: 92 min.

É.-U. 1987. Comédie de Alan Smithee avec Jon Cryer, Viveka Davis, Lynn Redgrave. En cherchant à s'enfuir de chez ses parents où il ne se sent pas aimé, un adolescent découvre les manigances de l'organisateur de la campagne politique de son père. Comédie simplette et laborieuse. Une certaine candeur dans la conception du récit. Couleurs pimpantes. Jeu enthousiaste de J. Cryer.

Qu'il est dur d'être farceur (Morgan Stewart's Coming Home)

Général

É.-U. 1987. Comédie de Alan Smithee avec Jon Cryer, Viveka Davis, Lynn Redgrave.

En cherchant à s'enfuir de chez ses parents où il ne se sent pas aimé, un adolescent découvre les manigances de l'organisateur de la campagne politique de son père. Comédie simplette et laborieuse. Une certaine candeur dans la conception du récit. Couleurs pimpantes. Jeu enthousiaste de J. Cryer.

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Genre :

Comédie

Année :

1987

Durée :

92 min.

Réalisation :

Alan Smithee

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Jon Cryer
Viveka Davis
Lynn Redgrave

Pensionnaire depuis sept ans dans diverses institutions scolaires, l'adolescent Morgan Stewart a enfin l'occasion de passer une période de vacances avec ses parents. Mais il découvre vite qu'on l'a fait venir pour favoriser la campagne politique courante de son père, le sénateur Tom Stewart. Morgan a pourtant l'occasion de lier amitié avec une charmante fille de son âge, Emily, mais Mme Stewart met fin à ces relations. En voulant s'enfuir de la maison, Morgan découvre les manigances malhonnêtes de l'organisateur de la campagne qui travaille en sous-main pour l'adversaire de Stewart.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur fantôme a encore frappé. Le pseudonyme Alan Smithee, utilisé à Hollywood pour signer certains films récusés par leur auteur, sert cette fois à camoufler une co-réalisation, le cinéaste Paul Aaron ayant pris les rênes des mains d'un metteur en scène débutant (et défaillant). Il n'y avait rien de très glorieux sans doute à revendiquer cette comédie simplette et laborieuse qui ne vaut guère que par le jeu enthousiaste du jeune comédien Jon Cryer, émule à la fois de Matthew Broderick et de Jerry Lewis. Illustré en couleurs pimpantes, le récit brigue pourtant la sympathie par une certaine candeur dans sa conception.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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