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Collège, amour et cie (On My Own)

Can. 1991. Drame psychologique de Antonio Tibaldi avec Judy Davis, Matthew Ferguson, David McIlwraith. Une jeune mère qui souffre de schizophrénie renoue avec son fils après deux ans de séparation. Chronique plutôt conventionnelle sur le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Observations psychologiques superficielles. Belle création d'atmosphère. Interprétation dominée par J. Davis.

Général
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Collège, amour et cie (On My Own)

Général Général

Can. 1991. Drame psychologique de Antonio Tibaldi avec Judy Davis, Matthew Ferguson, David McIlwraith.

Une jeune mère qui souffre de schizophrénie renoue avec son fils après deux ans de séparation. Chronique plutôt conventionnelle sur le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Observations psychologiques superficielles. Belle création d'atmosphère. Interprétation dominée par J. Davis.

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Alliance Vivafilm
Pensionnaire dans un collège privé, Simon se fait une joie de retrouver ses parents divorcés pour le congé de Noël, en particulier sa mère qu'il n'a pas vue depuis deux ans. Cependant, lorsqu'il débarque du train, à Toronto, seul son père l'attend sur le quai. Sa mère a dû être hospitalisée d'urgence. Il appert que cette dernière souffre de schizophrénie, une nouvelle qui bouleverse Simon. L'adolescent quitte alors son père et retourne au collège où, quelques semaines plus tard, sa mère le rejoint pour lui expliquer son état. Ensemble, ils font des projets d'avenir qui hélas s'avéreront bien futiles puisque sa mère se suicide peu après. Simon comprend alors qu'il doit affronter la vie de façon plus indépendante.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les auteurs de cinéma ont maintes fois fait la chronique du passage de l'adolescence à l'âge adulte, si bien qu'il est maintenant difficile de trouver un angle d'approche original pour traiter ce sujet. Les scénaristes de ON MY OWN se contentent de ressasser certaines idées déjà exploitées et ne développent guère leurs personnages; quant à leurs observations psychologiques, elles demeurent superficielles. Tout comme le scénario, la mise en scène est plutôt conventionnelle. Cependant, les décors victoriens et la lumière hivernale confèrent à l'ensemble une belle atmosphère. Judy Davis domine l'interprétation.

Texte : Johanne Larue

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