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Star Trek: Premier contact (Star Trek: First Contact)

É.-U. 1996. Science-fiction de Jonathan Frakes avec Patrick Stewart, Brent Spiner, Alfre Woodard. Le capitaine d'un vaisseau spatial du 24e siècle revient sur la Terre en 2063 afin d'empêcher la destruction de l'humanité. Huitième épisode de la série. Scénario mécanique aux conventions éculées. Réalisation énergique et dynamique. Idéalisme à l'optimisme bon enfant. Remarquables effets spéciaux. Jeu pénétrant et intense de P. Stewart.

Général
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Star Trek: Premier contact (Star Trek: First Contact)

Général Général

É.-U. 1996. Science-fiction de Jonathan Frakes avec Patrick Stewart, Brent Spiner, Alfre Woodard.

Le capitaine d'un vaisseau spatial du 24e siècle revient sur la Terre en 2063 afin d'empêcher la destruction de l'humanité. Huitième épisode de la série. Scénario mécanique aux conventions éculées. Réalisation énergique et dynamique. Idéalisme à l'optimisme bon enfant. Remarquables effets spéciaux. Jeu pénétrant et intense de P. Stewart.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Au 24e siècle, le capitaine Jean-Luc Picard et son vaisseau Enterprise se lancent à la poursuite de survivants Borgs, de dangereux robots organiques qui ont effectué un saut dans le temps. Ils reviennent sur Terre en 2063 pour «assimiler» la race humaine avant qu'elle ne puisse établir son premier contact avec une civilisation extraterrestre. Picard, qui a jadis été capturé par les Borgs, est le mieux placé pour les anéantir avant qu'ils ne réussissent leur diabolique projet.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Déjà introduits dans le film précédent, c'est la première fois que les membres du feuilleton télévisé Star Trek: The Next Generation font cavaliers seuls, sans être escortés de leurs illustres prédécesseurs de la série originale. Voilà sans doute ce qui explique le regain de vigueur qui semble envahir ce huitième épisode de la saga. Même le réalisateur, Jonathan Frakes (dont c'est le premier film pour le grand écran), est issu de ce nouvel équipage. Sa mise en scène possède une énergie et un dynamisme indéniables, qualités qui propulsent fort heureusement le récit au-delà des conventions éculées que propose un scénario des plus mécaniques, malgré une vision idéaliste du futur qui surprend par son optimisme bon enfant. Le principal intérêt du film repose toutefois sur le personnage tourmenté du capitaine Picard, que campe avec une pénétrante intensité l'acteur shakespearien Patrick Stewart. Il apporte à l'ensemble une crédibilité que les autres films avaient perdue. De remarquables effets spéciaux, un rythme sans faille et une distribution adéquate complètent ce divertissement honorable.

Texte : André Caron

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