I'm Gonna Git You Sucka

É.-U. 1988. Comédie policière de Keenen Ivory Wayans avec Keenen Ivory Wayans, Bernie Casey, Janet DuBois. De retour de son service militaire, un jeune homme recrute des ex-flics pour venger son frère mort d'une "overdose" de chaînettes en or. Ensemble traité avec plus de bonne humeur caricaturale que de mordant satirique. Gags inégaux. Jeu spirituel des comédiens.

I'm Gonna Git You Sucka (I'm Gonna Git You Sucka)

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É.-U. 1988. Comédie policière de Keenen Ivory Wayans avec Keenen Ivory Wayans, Bernie Casey, Janet DuBois.

De retour de son service militaire, un jeune homme recrute des ex-flics pour venger son frère mort d'une "overdose" de chaînettes en or. Ensemble traité avec plus de bonne humeur caricaturale que de mordant satirique. Gags inégaux. Jeu spirituel des comédiens.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1988

Durée :

87 min.

Réalisation :

Keenen Ivory Wayans

Scénario :

Keenen Ivory Wayans

Pays :

États-Unis

Distributeur :

MGM

Interprètes :

Keenen Ivory Wayans
Bernie Casey
Janet DuBois

Lorsqu'il rentre de son service militaire à la maison familiale, Jack Spade apprend que son jeune frère Junebug est mort d'une overdose de chaînettes en or. Il décide alors de partir en guerre contre M. Big, le chef de la pègre locale, et fait appel à un ancien amoureux de sa mère, John Slade, reconnu en son temps comme superflic. Celui-ci accepte de l'aider et recrute quelques ex-collègues reconvertis dans le commerce. Après un certain nombre de difficultés, Jack vient à bout de sa mission et peut filer le parfait amour avec Cheryl, la veuve de Junebug, qu'il a sauvée de la prostitution.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme son ami Robert Townsend, réalisateur de HOLLYWOOD SHUFFLE auquel il a collaboré comme scénariste; Wayans s'est assigné comme cible certains stéréotypes dans la présentation des Noirs à l'écran. Il s'en prend donc avec plus de bonne humeur caricaturale que de mordant satirique à une certaine vague de films du début des années 70 où l'on exploitait des super héros blacks tels Shaft, Superfly et autres Hammer. Il en résulte une comédie bon enfant où les gags ne sont pas tous réussis, mais dont la bonne volonté comique gagne la sympathie. Les comédiens s'y moquent d'eux-mêmes avec un certain esprit.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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