Mon beau village (Vesnicko má stredisková)

Name: Mon beau village
Director: Jiri Menzel
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 101 min.

Tch. 1986. Comédie de moeurs de Jiri Menzel avec Janos Ban, Marian Labuda, Rudolf Hrusinsky. Un chauffeur de camion tente de contrecarrer les manoeuvres de certains officiels qui guignent la maison de son assistant un peu simple d'esprit. Observations ironiques et sympathiques de moeurs villageoises. Mouvement vif. Dialogues réjouissants. Interprétation pittoresque.

Mon beau village (Vesnicko má stredisková)

Général

Tch. 1986. Comédie de moeurs de Jiri Menzel avec Janos Ban, Marian Labuda, Rudolf Hrusinsky.

Un chauffeur de camion tente de contrecarrer les manoeuvres de certains officiels qui guignent la maison de son assistant un peu simple d'esprit. Observations ironiques et sympathiques de moeurs villageoises. Mouvement vif. Dialogues réjouissants. Interprétation pittoresque.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1986

Durée :

101 min.

Réalisation :

Jiri Menzel

Pays :

République Tchèque

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Janos Ban
Marian Labuda
Rudolf Hrusinsky

Dans un village pas très éloigné de Prague, Pavel est un chauffeur de camion à l'emploi de la coopérative locale. Il a pour assistant Otik, un simple d'esprit plein de bonne volonté, dont les distractions et les bévues l'exaspèrent. Otik qui a pour Pavel une admiration sans bornes est fort déçu lorsque son chef demande sa mutation. Il accepte alors un emploi à la capitale, dont l'accès lui est rendu facile parce que certains officiels du parti guignent la maison qu'il habite au village. Les villageois se liguent contre ces manoeuvres et Pavel s'en va chercher Otik.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Autour de cette intrigue centrale se dessinent diverses observations sur les activités et les moeurs des habitants d'un village typique. Le tout est présenté avec un mélange d'ironie et de sympathie dans un contexte descriptif doté d'une saveur particulière. Le mouvement est vif et les dialogues s'avèrent souvent d'une drôlerie réjouissante sans que jamais l'on force le naturel des personnages. Devant cette réussite succulente, on regrette d'être resté si longtemps sans nouvelles de Menzel depuis TRAINS RIGOUREUSEMENT SURVEILLÉS et L'ÉTÉ CAPRICIEUX. Janos Ban et Marian Labuda forment un tandem pittoresque dans la tradition de Laurel et Hardy.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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