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Les Belles de l'Ouest (Bad Girls)

É.-U. 1994. Western de Jonathan Kaplan avec Madeleine Stowe, Mary Stuart Masterson, Andie MacDowell. À l'époque du Far West, les tribulations de quatre femmes hors-la-loi qui fuient vers l'Oregon. Intrigue brouillonne et par trop éclatée. Point de vue féministe édulcoré. Psychologie tracée à gros traits. Scènes d'action stylisées et dynamiques. Bonne interprétation de M. Stowe.

Général
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Les Belles de l'Ouest (Bad Girls)

Général Général

É.-U. 1994. Western de Jonathan Kaplan avec Madeleine Stowe, Mary Stuart Masterson, Andie MacDowell.

À l'époque du Far West, les tribulations de quatre femmes hors-la-loi qui fuient vers l'Oregon. Intrigue brouillonne et par trop éclatée. Point de vue féministe édulcoré. Psychologie tracée à gros traits. Scènes d'action stylisées et dynamiques. Bonne interprétation de M. Stowe.

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Après avoir tué un client violent qui fréquentait son bordel, Cody est sauvée de la potence par ses compagnes Anita, Eileen et Lilly. Fuyant les agents de la Pinkerton, les quatre hors-la-loi se dirigent vers l'Oregon où elles espèrent exploiter la scierie que devait construire le mari d'Anita, maintenant décédé. De nouveaux soucis compromettent cependant leurs projets. Alors qu'Eileen tombe amoureuse d'un fermier sédentaire, Cody se fait dérober son argent par un ancien amant psychotique qui kidnappe ensuite Lilly. Anita découvre, quant à elle, que le permis qu'elle détient n'a plus de valeur légale depuis son veuvage. Bafouées et violentées, les quatre amies demeurent solidaires et luttent pour que justice soit faite.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Une intrigue brouillonne et par trop éclatée ainsi qu'un discours faussement original font de ce film un western décevant. On a truffé le scénario d'emprunts à des classiques du genre et édulcoré son point de vue féministe, pourtant annoncé dans la couverture médiatique, en donnant aux personnages masculins une place trop importante. Qui plus est, la psychologie des héroïnes, tracée sommairement et à gros traits, déprécie les protagonistes et contrecarre l'émotion. Restent les nombreuses scènes d'action qui, heureusement, s'avèrent stylisées et montées de façon dynamique. Madeleine Stowe (THE LAST OF THE MOHICANS) domine l'interprétation.

Texte : Johanne Larue

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