Go to main content
5

Un Ange gardien pour Tess (Guarding Tess)

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Hugh Wilson avec Shirley MacLaine, Nicolas Cage, Austin Pendleton. Un agent des services secrets est assigné au service de l'ex-première dame du pays qui rend la vie dure à tout le monde avec ses caprices. Sujet prometteur. Mélange inégal d'humour et de mélancolie. Ensemble manquant de rythme. Interprétation de qualité.

Général
5

Un Ange gardien pour Tess (Guarding Tess)

Général Général

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Hugh Wilson avec Shirley MacLaine, Nicolas Cage, Austin Pendleton.

Un agent des services secrets est assigné au service de l'ex-première dame du pays qui rend la vie dure à tout le monde avec ses caprices. Sujet prometteur. Mélange inégal d'humour et de mélancolie. Ensemble manquant de rythme. Interprétation de qualité.

Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
L'agent Doug Chesnic des services secrets américains est bien heureux de rentrer à Washington après des années au service de la difficile Tess Carlisle, ex-première dame du pays. Sa joie s'avère cependant de bien courte durée puisque l'excentrique matrone exige bientôt du président actuel qu'il le réassigne auprès d'elle. Doug doit donc souffrir à nouveau les caprices de Tess qui l'aime pourtant comme un fils. L'affection que porte malgré tout le jeune agent à sa patronne finit par se manifester le jour où cette dernière se fait kidnapper par des parents de son chauffeur. Il remue alors ciel et terre pour la retrouver.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré des prémices remplies de promesses, GUARDING TESS souffre de ne pas trop savoir à quel genre cinématographique se vouer. À l'évidence, les premières scènes se veulent comiques, mais l'humour a tendance à tomber à plat en raison d'un manque de rythme. Cela s'explique en partie par le fait que les créateurs tentent d'instaurer en même temps un climat de mélancolie automnale qui ne trouve vraiment sa raison d'être que dans l'ultime quart du film, lorsque l'action tourne au drame et que les sentiments profonds des personnages sont exposés. Des dialogues tantôt superficiels, tantôt manquant d'originalité comique, n'arrangent pas les choses. Un résultat bien navrant vu la qualité de l'interprétation.

Texte : Johanne Larue

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3