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Masque noir (Hak Hap)

H.-K. 1996. Drame policier de Daniel Lee avec Jet Li, Lau Ching-wan, Karen Mok. Un justicier masqué expert en arts martiaux combat des criminels qui mettent la ville de Hong-Kong à feu et à sang. Récit souvent incohérent et naïf inspiré d'un héros de bandes dessinées. Affrontements spectaculaires. Montage survolté. J. Li impressionnant.

16 ans + (violence)
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Masque noir (Hak Hap)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

H.-K. 1996. Drame policier de Daniel Lee avec Jet Li, Lau Ching-wan, Karen Mok.

Un justicier masqué expert en arts martiaux combat des criminels qui mettent la ville de Hong-Kong à feu et à sang. Récit souvent incohérent et naïf inspiré d'un héros de bandes dessinées. Affrontements spectaculaires. Montage survolté. J. Li impressionnant.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Interprètes :
Le Squad 701 désigne une escouade spéciale de guerriers ayant subi une opération au cerveau qui a eu pour effet de les rendre insensibles à la douleur. Mais ces cobayes se transforment en tueurs sanguinaires, ce qui nécessite leur élimination. L'un d'entre eux, Simon, parvient cependant à s'échapper et se rend à Hong-Kong où il devient bibliothécaire. Mais bientôt, d'autres membres de l'escouade s'y manifestent, semant la mort et la terreur. A l'insu des forces policières, muni d'un masque noir, Simon entreprend de combattre ses ex-acolytes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Remarqué dans LETHAL WEAPON 4, où il incarnait pour une rare fois un méchant, la superstar de Hong-Kong Jet Li ne parvint toutefois pas à s'imposer au public nord-américain. Ce ne sera sans doute pas davantage le cas avec ce film, inspiré des aventures du superhéros THE GREEN HORNET, produit et coscénarisé par l'omniprésent Tsui Hark. Il s'agit pourtant d'une oeuvre assez ambitieuse, du moins sur les plans techniques et plastiques, dans laquelle les combats spectaculaires et les cascades vertigineuses se succèdent dans un montage survolté. Mais comme trop souvent dans ce type de productions de Hong-Kong, le récit accumule incohérences et naïvetés, tandis que les efforts pour donner un semblant de profondeur psychologique aux personnages s'avèrent risibles. De plus, la présente version a été doublée en anglais, avec un synchronisme souvent déficient, et elle possède maintenant une bande sonore à tendance hip-hop, qui dénature par moments le film. Néanmoins, Jet Li fait montre de son aisance habituelle et de son formidable talent pour les arts martiaux.

Texte : Louis-Paul Rioux

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