Go to main content
5

Ruby in Paradise

É.-U. 1992. Drame psychologique de Victor Nunez avec Ashley Judd, Todd Field, Dorothy Lyman. Afin de fuir une existence morne, une jeune fille du Tennessee se rend en Floride où elle trouve un emploi de vendeuse et tombe amoureuse d'un caissier. Portrait intimiste aux situations parfois convenues. Intérêt inégal. Rythme lent. Illustration de cartes postales. Jeu expressif et naturel d'A. Judd.

Général
5

Ruby in Paradise (Ruby in Paradise)

Général Général

É.-U. 1992. Drame psychologique de Victor Nunez avec Ashley Judd, Todd Field, Dorothy Lyman.

Afin de fuir une existence morne, une jeune fille du Tennessee se rend en Floride où elle trouve un emploi de vendeuse et tombe amoureuse d'un caissier. Portrait intimiste aux situations parfois convenues. Intérêt inégal. Rythme lent. Illustration de cartes postales. Jeu expressif et naturel d'A. Judd.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
Afin de fuir une existence morne et décevante, la jeune Ruby Lee Gissing quitte son Tennessee natal et se rend à Panama City en Floride. Ayant trouvé un travail de vendeuse au magasin de souvenirs de Mildred Chambers, elle lie amitié avec Rochelle, l'une des employées, tandis que Ricky, le fils play-boy de Mme Chambers, ne tarde pas à la séduire. Pour essayer d'y voir plus clair, Ruby se met alors à consigner ses réflexions dans un journal personnel. Peu après, elle tombe amoureuse de Mike, un jeune caissier dans une pépinière. Mais un soir, Ricky, ivre et jaloux, tente de violer Ruby, puis la congédie pour se venger. Dès lors, sans ressources, la jeune femme se retrouve seule face à elle-même.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Représentant d'une certaine veine du cinéma américain indépendant, Victor Nunez propose ici un petit film intimiste, dont le propos essentiel consiste en un portrait de jeune femme qui cherche sa voie tout en aspirant au véritable bonheur. Le rythme lent de la mise en scène fait la part belle à la création d'un paysage intérieur qui ne manque pas de charme. Toutefois, l'intérêt fléchit par moments et la fin du film s'étire inutilement. De plus, quelques situations apparaissent assez convenues, alors que l'illustration s'apparente à l'esthétique des cartes postales. Heureusement, Ashley Judd emporte l'adhésion grâce à son jeu expressif et naturel.

Texte : Louis-Paul Rioux

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3