L'Attaque des aigles de fer III (Aces: Iron Eagle III)

Name: Attaque des aigles de fer III, L'
Director: John Glen
Genre: Drame de guerre
Duration: 102 min.

É.-U. 1991. Drame de guerre de John Glen avec Louis Gossett Jr., Rachel McLish, Paul Freeman. Au Pérou, les installations d'un trafiquant de drogue au passé nazi sont prises d'assaut par des aviateurs américains. Histoire simpliste prétexte à glorifier des héros de guerre esquissés à gros traits. Péripéties totalement invraisemblables. Effets faciles et rebattus. Interprétation peu nuancée.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

L'Attaque des aigles de fer III (Aces: Iron Eagle III)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1991. Drame de guerre de John Glen avec Louis Gossett Jr., Rachel McLish, Paul Freeman.

Au Pérou, les installations d'un trafiquant de drogue au passé nazi sont prises d'assaut par des aviateurs américains. Histoire simpliste prétexte à glorifier des héros de guerre esquissés à gros traits. Péripéties totalement invraisemblables. Effets faciles et rebattus. Interprétation peu nuancée.

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Genre :

Drame de guerre

Année :

1991

Durée :

102 min.

Réalisation :

John Glen

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Louis Gossett Jr.
Rachel McLish
Paul Freeman

Kleiss, un trafiquant de drogue au passé nazi, tient en esclavage les habitants d'un village péruvien producteur de cocaïne. Grâce à la complicité d'un pilote de l'aviation américaine, Kleiss s'apprête à envoyer une importante cargaison de drogue aux Etats-Unis. Une villageoise parvient à se glisser dans l'avion qui s'envole vers une base militaire du Texas. A l'arrivée, la jeune femme alerte un colonel, Charles Sinclair, qui entreprend alors de se porter au secours des villageois. Pour ce faire, il obtient l'aide d'aviateurs spécialisés dans les vols de démonstration et, ensemble, ils prennent d'assaut les installations de Kleiss.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il est difficile de savoir si les auteurs prennent vraiment au sérieux ou non cette histoire totalement invraisemblable. Le récit est parsemé de souffrances humaines et de violences, mais le traitement relève de la bande dessinée simpliste. Récupérant à leur compte le problème du trafic de stupéfiants en provenance des pays latino-américains, les auteurs s'en servent comme prétexte pour glorifier des héros de guerre esquissés à gros traits. Le réalisateur démontre une certaine expertise technique, qu'il met hélas à l'emploi d'effets faciles et rebattus. Les interprètes n'ont pas l'occasion de manifester de grandes nuances de jeu.

Texte : Martin Girard

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