Le Jour de l'indépendance (Independence Day)

Name: Jour de l'indépendance, Le
Director: Roland Emmerich
Genre: Science-fiction
Duration: 145 min.

É.-U. 1996. Science-fiction de Roland Emmerich avec Will Smith, Bill Pullman, Jeff Goldblum. Après avoir détruit trois grandes villes américaines, des extraterrestres à bord d'immenses soucoupes volantes s'apprêtent à envahir la planète. Science-fiction à rabais aux thèmes éculés. Intrigue ridicule et banale. Accumulation d'effets spectaculaires répétitifs. Quelques moments impressionnants. Interprètes sans conviction.

Le Jour de l'indépendance (Independence Day)

13 ans +

É.-U. 1996. Science-fiction de Roland Emmerich avec Will Smith, Bill Pullman, Jeff Goldblum.

Après avoir détruit trois grandes villes américaines, des extraterrestres à bord d'immenses soucoupes volantes s'apprêtent à envahir la planète. Science-fiction à rabais aux thèmes éculés. Intrigue ridicule et banale. Accumulation d'effets spectaculaires répétitifs. Quelques moments impressionnants. Interprètes sans conviction.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1996

Durée :

145 min.

Réalisation :

Roland Emmerich

Pays :

États-Unis

Distributeur :

20th Century Fox

Interprètes :

Will Smith
Bill Pullman
Jeff Goldblum

Le deux juillet, des soucoupes volantes gigantesques se positionnent au-dessus des grandes villes du monde. Le trois juillet, les engins extraterrestres pulvérisent New York, Los Angeles et Washington. Heureusement, le président des États-Unis et son entourage ont réussi à s'enfuir au Nevada dans une base secrète. Le quatre juillet, les Américains se préparent à libérer le monde des envahisseurs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme d'autres productions récentes, ce film marque un retour évident à la science-fiction des années 1950, tout en s'inspirant des films-catastrophes des années 1970. Le scénario, d'une navrante banalité et d'un ridicule consommé, se contente de reproduire tous les schémas connus et d'offrir une galerie de stéréotypes plus artificiels les uns que les autres. On ne peut pas parler non plus de mise en scène, car il s'agit plutôt d'un collage d'images reposant sur l'accumulation répétitive d'effets spéciaux plus ou moins réussis. Le film comporte certes des moments spectaculaires, mais il manque singulièrement de rythme et ne révèle aucune idée originale. Les auteurs ne font que se complaire dans la formule la plus simple, créant ainsi un divertissement vide qui glorifie un patriotisme américain le plus primaire et le plus réactionnaire. Des comédiens de talent jouent sans trop de conviction.

Texte : André Caron

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