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Coyote Ugly

É.-U. 2000. Comédie dramatique de David McNally avec Piper Perabo, Adam Garcia, Maria Bello. Une jeune femme qui rêve d'écrire des chansons se trouve un emploi dans un bar de New York renommé pour le style flamboyant de ses barmaids. Intrigue mièvre et racoleuse. Personnages schématiques à l'extrême. Technique léchée. Interprétation artificielle.

13 ans + (érotisme)
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Coyote Ugly (Coyote Ugly)

13 ans + (érotisme) 13 ans + (érotisme)

É.-U. 2000. Comédie dramatique de David McNally avec Piper Perabo, Adam Garcia, Maria Bello.

Une jeune femme qui rêve d'écrire des chansons se trouve un emploi dans un bar de New York renommé pour le style flamboyant de ses barmaids. Intrigue mièvre et racoleuse. Personnages schématiques à l'extrême. Technique léchée. Interprétation artificielle.

À 21 ans, Violet Sanford quitte son père et sa banlieue du New Jersey pour tenter sa chance comme auteur-compositeur à New York. Mais ses démarches auprès des compagnies de disques demeurent sans lendemain. Seul Kevin, un jeune chef cuisinier dont elle tombe amoureuse, tente de l'aider à percer. En attendant, Violet trouve un emploi au bar Coyote Ugly, et joint les rangs de ses jeunes barmaids aguerries ayant développé un style flamboyant et sexy pour servir les cocktails. Devenant une vedette auprès de la clientèle, Violet songe alors à mettre au rancart ses ambitions artistiques.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le producteur Jerry Bruckheimer, bien connu pour la rutilance et l'insipidité des longs métrages qu'il pilote, récidive avec COYOTE UGLY, un film concept qui, en croisant FLASDANCE et FAME avec COCKTAIL, relève définitivement plus de la stratégie de marketing que de l'art du cinéma. D'ailleurs, on ne s'y trompe pas en voyant l'esthétique très léchée et très pub de la cinématographie. La mise en scène est tout aussi tape-à-l'oeil et artificielle, le réalisateur tournant sans grande émotion les quelques moments d'intimité entre personnages pour mettre toute son énergie au service des scènes de bar. Ces dernières possèdent l'allure de numéros de cabaret survoltés et représentent le seul véritable intérêt de cette production. Parce qu'il ne faut pas chercher du côté du scénario... Empruntant plusieurs de ses grandes lignes à Cendrillon, le récit s'avère d'une mièvrerie insupportable et s'appuie sur des protagonistes schématisés à l'extrême. Mis à part John Goodman, égal à lui-même, tous les interprètes semblent avoir été choisis uniquement en fonction de leur sex-appeal.

Texte : Johanne Larue

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