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Légende urbaine (Urban Legend)

É.-U. 1998. Drame d'horreur de Jamie Blanks avec Alicia Witt, Jared Leto, Rebecca Gayheart. Une jeune étudiante est menacée par un mystérieux tueur qui s'inspire de légendes urbaines pour commettre ses crimes. Prémisse prometteuse. Réalisation convenue. Dénouement grotesque. Interprétation inégale.

13 ans + (violence)
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Légende urbaine (Urban Legend)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1998. Drame d'horreur de Jamie Blanks avec Alicia Witt, Jared Leto, Rebecca Gayheart.

Une jeune étudiante est menacée par un mystérieux tueur qui s'inspire de légendes urbaines pour commettre ses crimes. Prémisse prometteuse. Réalisation convenue. Dénouement grotesque. Interprétation inégale.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Ces derniers temps sur le campus de l'université de Pendleton en Nouvelle-Angleterre, se produisent une série de meurtres horribles inspirés de légendes urbaines, notamment celles entendues durant le cours du professeur Wexler. L'étudiante Natalie a des raisons de croire qu'elle est menacée par le tueur mystérieux, mais personne ne prend ses craintes au sérieux, sauf peut-être Paul, un confrère qui écrit dans le journal étudiant. Ensemble, ils en viendront à démasquer et neutraliser le redoutable psychopathe.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Continuant à exploiter le regain de succès des films d'horreur pour un public adolescent tels les deux SCREAM, HALLOWEEN: H20 et I KNOW WHAT YOU DID LAST SUMMER, le producteur de ce dernier film propose cette fois une nouvelle variation axée sur la notion de légende urbaine. Une idée pas bête du tout, d'autant plus que ce type d'histoires terrifiantes censées être arrivées à un "ami de la soeur d'un voisin", donc pratiquement invérifiables, contient en soi l'ingrédient indispensable à tout film d'horreur mettant en scène des jeunes, à savoir la leçon morale associée à la transgression d'un interdit. Cependant, le film n'est jamais à la hauteur de cette prometteuse prémisse. La réalisation à base d'effets-chocs répétitifs et de création d'atmosphères lugubres convenues ne parvient pas à captiver ou à vraiment surprendre, tandis que le dénouement verse dans un grotesque gênant. Néanmoins, Alicia Witt met beaucoup de conviction dans son rôle, ce qui n'est pas le cas de Rebecca Gayheart, franchement mauvaise dans certaines scènes.

Texte : Louis-Paul Rioux

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