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Le Monde selon Wayne 2 (Wayne's World 2)

É.-U. 1993. Comédie de Stephen Surjik avec Mike Myers, Dana Carvey, Christopher Walken. Les deux animateurs farfelus d'un talk-show diffusé sur une chaîne communautaire tentent d'organiser un gigantesque festival rock. Entreprise chaotique et débridée. Quelques bons moments jubilatoires. Mise en scène bousculée. Interprétation débonnaire et insouciante.

Général
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Le Monde selon Wayne 2 (Wayne's World 2)

Général Général

É.-U. 1993. Comédie de Stephen Surjik avec Mike Myers, Dana Carvey, Christopher Walken.

Les deux animateurs farfelus d'un talk-show diffusé sur une chaîne communautaire tentent d'organiser un gigantesque festival rock. Entreprise chaotique et débridée. Quelques bons moments jubilatoires. Mise en scène bousculée. Interprétation débonnaire et insouciante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Deux farfelus, Wayne et Garth, animent un "talk show" télévisé centré sur la musique rock et diffusé sur une chaîne communautaire. La petite amie de Wayne, la belle chanteuse Cassandra, s'est trouvé un producteur qui la pousse à se rendre à Los Angeles pour lancer sa carrière. Assez jaloux de l'attention non désintéressée qui entoure sa fiancée, Wayne s'arrange comme il peut pour se mettre sur le chemin de ce fameux producteur qui le méprise. De plus, lors d'une nuit agitée, il rêve qu'il rencontre dans le désert le chanteur Jim Morrison. Ce dernier l'encourage à organiser un gigantesque festival rock avec l'aide d'un vieux routier du métier installé à Londres. L'idée d'un "Waynestock" est née, mais quant à sa réalisation, il s'agit d'une autre paire de manches, d'autant qu'aucun groupe ne semble prêt à y jouer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sans être une suite purement imitative, ce film ne s'écarte point du canevas de base de son prédécesseur. Ainsi, s'il existe une vague trame narrative, les auteurs s'échinent à n'y prendre presque pas garde. En fait, l'intrigue sert de support à un patchwork de saynètes humoristiques n'ayant peu ou prou de lien avec le sujet. De cette entreprise chaotique et débridée de dilatation de la rate, il se dégage autant de bons moments jubilatoires, surtout lors des brèves apparitions caricaturales d'acteurs connus, que de séquences répétitives et lourdes. La mise en scène bousculée est à l'image de l'interprétation débonnaire et insouciante.

Texte : Christian Depoorter

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