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Heaven's Burning

Aust. 1997. Drame policier de Craig Lahiff avec Russell Crowe, Youki Kudoh, Kenji Isomura. Après avoir simulé son enlèvement, une Japonaise fuit avec un voleur de banque australien en ayant la police, la mafia et son mari jaloux aux trousses. Road-movie pas trop crédible. Situations absurdes mal intégrées. Réalisation de métier. Belle photographie. Interprétation correcte de personnages superficiels.

16 ans + (violence)
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Heaven's Burning (Heaven's Burning)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

Aust. 1997. Drame policier de Craig Lahiff avec Russell Crowe, Youki Kudoh, Kenji Isomura.

Après avoir simulé son enlèvement, une Japonaise fuit avec un voleur de banque australien en ayant la police, la mafia et son mari jaloux aux trousses. Road-movie pas trop crédible. Situations absurdes mal intégrées. Réalisation de métier. Belle photographie. Interprétation correcte de personnages superficiels.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
Motion International
Colin sert de chauffeur pour les frères Mahood et Gullbuddin qui commettent un hold-up dans une banque. L'opération tourne mal et les voleurs prennent la jeune Japonaise Midori en otage, menaçant de la tuer. Colin intervient pour sauver la jeune femme et tue accidentellement Gullbuddin. Il prend alors la fuite avec Midori et apprend que celle-ci vient d'abandonner son nouveau mari en lui faisant croire qu'elle a été kidnappée. Les deux fuyards vont trouver refuge dans la ferme du père de Colin, avec à leurs talons la police, Mahood et le mari jaloux de Midori.

L’AVIS DE MEDIAFILM

HEAVEN'S BURNING se présente comme une sorte de road-movie qui s'amuse à faire contraster le romantisme naïf d'une Japonaise de passage en Australie avec l'absurdité de la relation qui s'ébauche entre elle et un criminel au grand coeur. Le tout est alors tapissé sur un fond de poursuites diverses dans lesquelles interviennent police, mafia et mari jaloux. Avec un tel scénario, construit selon deux lignes dramatiques distinctes, il est peu surprenant de constater que ce long métrage hésite autant entre la légèreté et la gravité. Et la présence de situations absurdes mal intégrées n'aide guère ce récit peu crédible. De plus, malgré la réalisation parfois inspirée de Craig Lahiff et la fort belle direction photo de Brian Breheny, l'ensemble lève difficilement, tant les auteurs semblent surtout préoccupés par la recherche d'effets violents et gratuits. Les comédiens interprètent correctement des personnages passablement superficiels.

Texte : Alain Dubeau

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