Sans pitié (No Mercy)

Name: Sans pitié
Director: Richard Pearce
Genre: Drame policier
Duration: 108 min.

É.-U. 1986. Drame policier de Richard Pearce avec Richard Gere, Kim Basinger, Jeroen Krabbé. Un policier de Chicago se rend en Louisiane pour retrouver une jeune femme susceptible de l'éclairer sur l'identité du meurtrier de son collègue. Intrigue classique habilement menée. Rythme nerveux. Photographie riche en atmosphère. Personnages solidement campés.

Sans pitié (No Mercy)

13 ans + (violence)

É.-U. 1986. Drame policier de Richard Pearce avec Richard Gere, Kim Basinger, Jeroen Krabbé.

Un policier de Chicago se rend en Louisiane pour retrouver une jeune femme susceptible de l'éclairer sur l'identité du meurtrier de son collègue. Intrigue classique habilement menée. Rythme nerveux. Photographie riche en atmosphère. Personnages solidement campés.

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Genre :

Drame policier

Année :

1986

Durée :

108 min.

Réalisation :

Richard Pearce

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Richard Gere
Kim Basinger
Jeroen Krabbé

Feignant d'être des tueurs à gages, deux policiers de Chicago, Eddie Jillette et Joe Collins, tentent d'incriminer un homme de la Nouvelle-Orléans venu chercher au Nord un exécuteur. Mais l'étranger est tué par celui qu'il voulait faire abattre et Collins meurt par la même occasion. Jillette se rend en Louisiane pour retrouver une jeune femme, Michèle Ouval, susceptible de l'éclairer sur l'identité du meurtrier. Michèle est liée à un certain Losado qui dirige divers trafics, il appert que c'est Losado qui a tué Collins et Jillette lui tend un piège.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur jusqu'à présent de drames à résonances sociales et à saveur documentaire (HEARTLAND, THRESHOLD, COUNTRY), Richard Pearce s'est essayé cette fois à une intrigue policière classique. Il s'est d'ailleurs tiré d'affaire avec habileté, menant le suspense avec la nervosité voulue et profitant savamment de décors urbains bien choisis ou des marécages propres à la Louisiane. Les personnages sont solidement campés et les protagonistes ont des rapports sentimentaux surprenants et intenses, à défaut d'être parfaitement convaincants. Le meilleur atout du film reste une photographie riche en atmosphère mise au point par le caméraman québécois Michel Brault.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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