Accroche-Coeur

Name: Accroche-Coeur
Director: Chantal Picault
Genre: Drame psychologique
Duration: 92 min.

Fr. 1987. Drame psychologique de Chantal Picault avec Patrick Bauchau, Sandrine Dumas, Lazslo Szabo. Les tribulations sentimentales d'une jeune fille maladroite qui s'est amourachée d'un séducteur dans la quarantaine. Adaptation d'un roman de Monique Lange. Récit languissant et répétitif. Mise en scène inégale. Photographie léchée. Interprétation peu convaincante.

Accroche-Coeur (Accroche-Coeur)

Général

Fr. 1987. Drame psychologique de Chantal Picault avec Patrick Bauchau, Sandrine Dumas, Lazslo Szabo.

Les tribulations sentimentales d'une jeune fille maladroite qui s'est amourachée d'un séducteur dans la quarantaine. Adaptation d'un roman de Monique Lange. Récit languissant et répétitif. Mise en scène inégale. Photographie léchée. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1987

Durée :

92 min.

Réalisation :

Chantal Picault

Pays :

France

Distributeur :

Cinépix

Interprètes :

Patrick Bauchau
Sandrine Dumas
Lazslo Szabo

Sara est une jeune fille assez maladroite qui s'est amourachée de Léo, un séducteur dans la quarantaine. Ce dernier lui annonce son intention de rompre et de partir pour le sud de la France. Sara s'accroche alors désespérément à lui. En fait, elfe s'imagine que Léo tente de se réconcilier avec sa femme Nathalie, une actrice célèbre. Mais elle se rend vite compte que ce périple ne constitue qu'une fuite pour Léo qui est en instance de divorce. Plus d'une fois, Léo fait des crochets par des gares, espérant se débarrasser de sa jeune maîtresse qui s'entête à le suivre. Finalement, Léo s'amadoue et commence à dévoiler ses sentiments.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette plongée dans un amour qui ne finit pas de mourir et de renaître fait preuve d'un talent assez inégal de mise en scène. Si la photographie est particulièrement bien léchée et l'histoire assez sensible, on a pourtant du mal à ressentir toute la profondeur du thème, tant les développements du scénario deviennent irritants à force de répétition. La langueur du récit, qui dans un premier temps crée un certain climat d'intimité, souligne à la longue un exercice de style plutôt pesant. Les interprètes font leur possible pour rendre crédibles les personnages, sans y parvenir de façon convaincante.

Texte : Christian Depoorter

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