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Woo

É.-U. 1998. Comédie de moeurs de Daisy von Scherler Mayer avec Jada Pinkett Smith, Tommy Davidson, Duane Martin. Un étudiant passe une soirée mouvementée en compagnie d'une jeune femme au tempérament explosif et imprévisible. Satire assez grossière des rapports amoureux contemporains des Afro-Américains. Dialogues particulièrement faibles. Réalisation stérile. Cabotinage des interprètes.

13 ans +
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Woo (Woo)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1998. Comédie de moeurs de Daisy von Scherler Mayer avec Jada Pinkett Smith, Tommy Davidson, Duane Martin.

Un étudiant passe une soirée mouvementée en compagnie d'une jeune femme au tempérament explosif et imprévisible. Satire assez grossière des rapports amoureux contemporains des Afro-Américains. Dialogues particulièrement faibles. Réalisation stérile. Cabotinage des interprètes.

Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
Tim Jenkins est un étudiant en droit dont la vie amoureuse n'est qu'une longue série d'échecs. Sa déveine semble pourtant devenir chose du passé lorsqu'un de ses copains arrange pour lui une soirée en tête-à-tête avec la séduisante Darlene "Woo" Bates. Mais dès que celle-ci se présente chez Tim, les ennuis commencent. D'un caractère capricieux, imprévisible et même explosif, Darlene va multiplier les frasques et transformer la soirée en véritable test d'endurance pour le pauvre Tim.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À l'instar de bien d'autres comédies destinées au jeune public afro-américain, WOO propose une satire assez grossière des rapports amoureux contemporains dans le milieu noir. Réalisé par une femme, ce film met en scène un personnage féminin fort en gueule qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Néanmoins, le film laisse un arrière-goût de misogynie car le comportement rebelle de l'héroïne prend plus souvent qu'autrement l'allure de caprices qui rendent les hommes misérables. Il faut dire que l'ensemble du scénario se gave de stéréotypes que le film régurgite à l'écran sans la moindre finesse. L'humour ne dépasse jamais le niveau d'un mauvais «sitcom» et les dialogues s'avèrent particulièrement faibles dans ce département. La réalisation possède un semblant d'entrain, soutenu d'ailleurs par le cabotinage incessant et agacant des interprètes. Cependant, cette énergie tourne à vide, car dès le départ, l'intrigue progresse à coup d'artifices sans mener nulle part.

Texte : Martin Girard

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