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L'Été de mes onze ans... la suite (My Girl 2)

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Howard Zieff avec Anna Chlumsky, Austin O'Brien, Dan Aykroyd. Une adolescente va passer les vacances à Los Angeles chez un oncle qui a recruté un garçon de son âge pour lui servir de guide. Production routinière axée sur une sentimentalité aseptisée. Réalisation peu imaginative. Interprétation consciencieuse.

Général
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L'Été de mes onze ans... la suite (My Girl 2)

Général Général

É.-U. 1994. Comédie dramatique de Howard Zieff avec Anna Chlumsky, Austin O'Brien, Dan Aykroyd.

Une adolescente va passer les vacances à Los Angeles chez un oncle qui a recruté un garçon de son âge pour lui servir de guide. Production routinière axée sur une sentimentalité aseptisée. Réalisation peu imaginative. Interprétation consciencieuse.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
La jeune Vada choisit sa mère, qui est morte peu après sa naissance, comme sujet d'un travail scolaire sur une personne qu'elle admire mais qu'elle ne connaît pas. Son père ne lui étant pas d'une grande utilité, l'adolescente s'en va durant les vacances chez son oncle Phil à Los Angeles afin d'amasser les renseignements dont elle a besoin pour définir la personnalité de sa mère. Sur place, Vada est escortée par Nick, un garçon de son âge que son tonton a recruté pour la guider. Les tempéraments des deux jeunes gens s'accordant peu, les premiers jours ne baignent pas dans l'allégresse. Mais petit a petit, ils vont se sentir attirés l'un vers l'autre et la jeune fille en apprendra autant sur elle-même que sur sa génitrice.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce second chapitre a ceci de particulier qu'il suit l'héroïne du premier épisode dans une autre étape de sa vie. D'enfant, la voici maintenant en proie aux balbutiements de la prime adolescence. Pour le reste, rien de neuf ne pointe à l'horizon de cette comédie passe-partout qui se situe dans la lignée des productions routinières alimentant le marché. Une sentimentalité aseptisée et des péripéties sans réel enjeu ne facilitent pas l'approfondissement psychologique d'un moment de l'existence déjà bien mieux cerné dans de nombreux autres films. La réalisation technique d'un soin méticuleux n'a rien à se reprocher sinon son manque d'imagination. Les interprètes reprennent leur rôle avec la même assurance toute professionnelle.

Texte : Christian Depoorter

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