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Silent Night, Deadly Night - Part 2

É.-U. 1987. Drame d'horreur de Lee Harry avec Eric Freeman, James L. Newman, Elizabeth Clayton. Interné pour meurtres, un psychopathe s'évade dans le but de trucider la religieuse qui dirigeait l'orphelinat où il a été élevé. Suite artificielle et inutile d'un film simpliste. Exploitation gratuite de la violence. Mise en scène médiocre. Interprétation à l'avenant.

16 ans +
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Silent Night, Deadly Night - Part 2 (Silent Night, Deadly Night - Part 2)

16 ans + 16 ans +

É.-U. 1987. Drame d'horreur de Lee Harry avec Eric Freeman, James L. Newman, Elizabeth Clayton.

Interné pour meurtres, un psychopathe s'évade dans le but de trucider la religieuse qui dirigeait l'orphelinat où il a été élevé. Suite artificielle et inutile d'un film simpliste. Exploitation gratuite de la violence. Mise en scène médiocre. Interprétation à l'avenant.

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Vidéo Vision
Un jeune homme, Ricky, révèle à un psychiatre en prison comment il a été amené à commettre divers meurtres. Quand il était bébé, ses parents ont été tués par un bandit déguisé en Père Noël. Son frère aîné, Billy, traumatisé par cet événement, était lui-même devenu un maniaque criminel sous un même déguisement avant d'être tué par la police sous ses yeux. Ricky s'évade après avoir tué le psychiatre et s'empare d'un costume rouge en trucidant celui qui le portait. Son but est de rejoindre et de supprimer la religieuse qui dirigeait l'orphelinat où il a été élevé ainsi que Billy.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est là une suite inopportune à un film d'horreur simpliste réalisé il y a quatre ans et qui ne nous est parvenu que cette année. Personne ne l'attendait d'ailleurs avec impatience non plus que cette prolongation artificielle et inutile. D'autant que le réalisateur compose le tiers de son métrage avec des scènes de la production précédente avant de se lancer dans une suite de séquences risiblement imitatives de son modèle. Il s'agit là d'une entreprise de basse et bête exploitation de violence que rien ne vient rehausser sur le plan de la mise en scène. L'interprétation est à l'avenant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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