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Jours de ciné (Biodagar)

Isl. 1994. Drame de moeurs de Fridrik Thor Fridriksson avec Orvar Jens Arnarsson, Jon Sigurbjornsson, Rurik Haraldsson. Au début des années 60, un jeune garçon fasciné par les films hollywoodiens passe les vacances dans une ferme. Succession de souvenirs quelque peu décousus. Portrait d'enfant attachant mais conventionnel. Mise en scène artificielle. Prestations correctes des interprètes.

Général
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Jours de ciné (Biodagar)

Général Général

Isl. 1994. Drame de moeurs de Fridrik Thor Fridriksson avec Orvar Jens Arnarsson, Jon Sigurbjornsson, Rurik Haraldsson.

Au début des années 60, un jeune garçon fasciné par les films hollywoodiens passe les vacances dans une ferme. Succession de souvenirs quelque peu décousus. Portrait d'enfant attachant mais conventionnel. Mise en scène artificielle. Prestations correctes des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
K-Films Amérique
Au début des années 60, à Reykjavik, le jeune Thomas adore jouer au soccer et observer les moeurs insolites des adultes. Mais ce qui le fascine par-dessus tout, c'est d'aller au cinéma voir les productions hollywoodiennes ou de regarder les films que la base américaine voisine diffuse à la télévision. Lorsque son père l'envoie pour les vacances à la ferme, le gamin découvre les vieilles légendes du pays qui finissent par l'impressionner autant que les films américains.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comment ne pas songer à CINÉMA PARADISIO de Giuseppe Tornatore à la vue de cette semi-autobiographie imbibée d'une douce nostalgie de l'époque où les familles se rendaient endimanchées au cinéma? Au-delà de l'intérêt quasi ethnographique de cette reconstitution d'époque, le réalisateur s'intéresse à cette période de l'histoire de son pays où les valeurs traditionnelles étaient dépassées par le pouvoir d'attraction de la culture de masse américaine. Dommage que ce propos soit raconté sans aucun lien structurel solide en une succession de souvenirs quelque peu décousus. Il en découle un attachant mais conventionnel portrait d'enfant d'où, malheureusement, l'émotion est restreinte par le côté artificiel de la mise en scène. Les interprètes offrent des prestations correctes.

Texte : Christian Depoorter

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