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Ernest à la chasse aux monstres (Ernest Scared Stupid)

É.-U. 1991. Comédie fantaisiste de John Cherry avec Jim Varney, Austin Nagler, Eartha Kitt. Après avoir réveillé sans le vouloir un démon, un farfelu tente vainement de prévenir les habitants de sa ville du danger qui les menace. Nouvel avatar d'une série d'aventures burlesques et simplistes. Manque de subtilité dans l'écriture. Humour aussi débridé que pesant. Jeu grimaçant de J. Varney.

Général
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Ernest à la chasse aux monstres (Ernest Scared Stupid)

Général Général

É.-U. 1991. Comédie fantaisiste de John Cherry avec Jim Varney, Austin Nagler, Eartha Kitt.

Après avoir réveillé sans le vouloir un démon, un farfelu tente vainement de prévenir les habitants de sa ville du danger qui les menace. Nouvel avatar d'une série d'aventures burlesques et simplistes. Manque de subtilité dans l'écriture. Humour aussi débridé que pesant. Jeu grimaçant de J. Varney.

Année :
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Buena Vista
En construisant une cabane dans un arbre avec ses jeunes compagnons la veille de l'Halloween, le farfelu Ernest réveille sans le vouloir un démon qu'un de ses ancêtres avait neutralisé et enterré là, deux siècles auparavant. Le "troll" réduit aussitôt un des enfants à l'état de petite figurine en pierre. Pour rappeler à la vie ses semblables, le monstre a besoin de cinq statuettes d'enfants qu'il doit placer dans des cavités de l'arbre. Ernest tente vainement de prévenir les habitants de la ville du danger qui les menace, mais seule la vieille Hackmire, une excentrique que l'on dit un peu sorcière, lui vient en aide.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Nouvel avatar d'une série d'aventures burlesques et simplistes centrées sur un personnage bouffon et plutôt débile, ce film ne se démarque aucunement des productions précédentes. Un manque de subtilité dans l'écriture et un humour aussi débridé que pesant caractérisent ce récit qui fart la part belle au dynamisme brouillon plus qu'au talent du grimaçant Jim Varney. Ses pitreries envahissent l'écran au point de reléguer l'histoire au second plan. Celle-ci semble d'ailleurs peu intéresser le réalisateur qui, plus d'une fois, se perd dans les méandres de ses pseudo-gags. Des trucages frustes et des personnages de gnomes peu transcendants apportent certes une touche de fantastique mais ne compensent pas l'absence de fantaisie.

Texte : Christian Depoorter

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