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Le Lac magique (Magic in the Water)

É.-U. 1995. Drame fantastique de Rick Stevenson avec Mark Harmon, Joshua Jackson, Harley Jane Kozak. Une créature marine perturbe l'existence d'une famille séjournant dans un chalet près d'un lac. Scénario conventionnel. Suspense indûment prolongé. Monstre de carton-pâte. Personnages stéréotypés. Jeu charmant de S. Wayne.

Général
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Le Lac magique (Magic in the Water)

Général Général

É.-U. 1995. Drame fantastique de Rick Stevenson avec Mark Harmon, Joshua Jackson, Harley Jane Kozak.

Une créature marine perturbe l'existence d'une famille séjournant dans un chalet près d'un lac. Scénario conventionnel. Suspense indûment prolongé. Monstre de carton-pâte. Personnages stéréotypés. Jeu charmant de S. Wayne.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia TriStar
Récompenses
Venu séjourner dans un chalet près d'un lac avec son fils Joshua et sa fille Ashley, le psychologue Jack Black demeure absorbé par l'écriture d'un livre et néglige ainsi ses enfants. La fillette de dix ans se persuade de la véracité d'une croyance populaire voulant qu'un monstre habite le lac. Et de fait, cette créature se manifeste un jour pour aider Jack à sauver l'enfant qui s'est mise en danger en faisant une fugue. Mais lorsqu'il admet à une psychologue avoir vu le monstre, Jack est aussitôt interné. Il revient alors à Ashley afin de prouver l'existence du monstre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le succès de FREE WILLY fait rêver bien des producteurs à Hollywood qui ne savent plus à quel mammifère se vouer pour répéter un tel succès. Dans ce cas-ci, on a recruté les services d'un animal imaginaire, une sorte de dinosaure marin, petit cousin du monstre du Loch Ness. La créature en question ne daigne apparaître à l'écran que vers la fin et ce, après maints et maints rendez-vous avortés qui prolongent indûment le suspense. Il faut dire que le budget modeste du film ne permet aucun exploit technologique, si bien que le monstre en question dissimule fort mal son carton-pâte et n'a donc finalement pas tort de vouloir se dérober à la caméra. Les humains sont, quant à eux, généralement assez stéréotypés. Ce film au scénario conventionnel et un peu trop lent vaut surtout pour la qualité de sa photographie qui offre des images magnifiques des paysages de la Colombie-Britannique. L'interprétation est dominée par le jeu charmant de la petite Sarah Wayne.

Texte : Martin Girard

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