Les Fantasmes de madame Jordan (Montenegro)

Name: Fantasmes de madame Jordan, Les
Director: Dusan Makavejev
Genre: Comédie satirique
Duration: 96 min.

Suèd. 1981. Comédie satirique de Dusan Makavejev avec Susan Anspach, Erland Josephson, Bora Todorovic. Une Américaine vivant en Suède connaît d'étranges expériences avec des immigrants yougoslaves. Début d'un insolite contrôlé. Suite exagérément outrancière. Ensemble déconcertant. Passages provocants. Jeu ébahi de S. Anspach.

Les Fantasmes de madame Jordan (Montenegro)

13 ans +

Suèd. 1981. Comédie satirique de Dusan Makavejev avec Susan Anspach, Erland Josephson, Bora Todorovic.

Une Américaine vivant en Suède connaît d'étranges expériences avec des immigrants yougoslaves. Début d'un insolite contrôlé. Suite exagérément outrancière. Ensemble déconcertant. Passages provocants. Jeu ébahi de S. Anspach.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1981

Durée :

96 min.

Réalisation :

Dusan Makavejev

Pays :

Suède

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Susan Anspach
Erland Josephson
Bora Todorovic

Une Américaine, Marilyn, mariée à un industriel suédois et mère de deux enfants, manifeste des signes croissants d'insatisfaction et de déséquilibre. Son mari Martin invite un psychiatre à venir l'examiner, mais la consultation n'aboutit pas. Ayant voulu suivre Martin dans un voyage d'affaires, Marilyn est retenue par les douaniers à l'aéroport. Elle fait ainsi la connaissance d'immigrants yougoslaves qui l'entraînent à un curieux cabaret géré par l'un d'eux dans la banlieue de Stockholm. La jeune femme y connaît d'étranges expériences.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cinéaste controversé, Makavejev présente là son premier film depuis SWEET MOVIE, tourné il y a plus de sept ans. MONTENEGRO apparaît d'abord comme une satire de moeurs d'esprit sardonique et se déroule dans une composition contrôlée avec quelques effets insolites à la clé. La deuxième partie renoue cependant avec les outrances familières à ce cinéaste obsédé par la lutte contre les tabous réels ou supposés. Il en résulte un net déséquilibre dans la construction où la frénésie visuelle prend le pas sur le symbolisme recherché. Susan Anspach conserve à travers tout cela un petit air éberlué assez compréhensible.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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