Flesh Gordon 2 - Le retour de Flesh Gordon (Flesh Gordon Meets the Cosmic Cheerleaders)

Name: Flesh Gordon 2 - Le retour de Flesh Gordon
Director: Howard Ziehm
Genre: Comédie
Duration: 102 min.

É.-U. 1989. Comédie de Howard Ziehm avec Vince Murdocco, Robyn Kelly, Tony Travis. Des majorettes interstellaires vivant sur une planète dont les mâles ont perdu leur virilité kidnappent un jeune Terrien pour pallier à ce manque. Salmigondis d'inepties et d'effets grossiers. Réalisation d'une affligeante pauvreté. Interprétation insupportable.

Flesh Gordon 2 - Le retour de Flesh Gordon (Flesh Gordon Meets the Cosmic Cheerleaders)

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É.-U. 1989. Comédie de Howard Ziehm avec Vince Murdocco, Robyn Kelly, Tony Travis.

Des majorettes interstellaires vivant sur une planète dont les mâles ont perdu leur virilité kidnappent un jeune Terrien pour pallier à ce manque. Salmigondis d'inepties et d'effets grossiers. Réalisation d'une affligeante pauvreté. Interprétation insupportable.

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Genre :

Comédie

Année :

1989

Durée :

102 min.

Réalisation :

Howard Ziehm

Pays :

États-Unis

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Vince Murdocco
Robyn Kelly
Tony Travis

En sortant du tournage d'un film qui raconte ses exploits passés, Flesh Gordon est enlevé par des majorettes interstellaires. Sur leur planète Comic High, les mâles ont perdu leur virilité et les majorettes comptent maintenant sur Flesh pour pallier à ce manque. Dale, la petite amie de ce dernier, embarque à bord du vaisseau du professeur Jackuli pour aller libérer son héros. Après maintes difficultés, ils atteignent Comic High mais la belle y est aussitôt kidnappée par un serviteur de l'infâme empereur Wang. Ce dernier compte combler la reine Frigide en se transplantant l'appendice viril de Flesh. Mais le jeune homme ne se laisse pas faire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il y a seize ans, Howard T. Ziehm avait déjà co-signé une parodie laborieuse des bandes dessinées d'Alex Raymond. En réalisant cette suite, le metteur en scène ne semble pas avoir été beaucoup plus inspiré, bien au contraire. Ne profitant nullement des nouvelles techniques d'effets spéciaux, il s'est contenté de raconter (?) une histoire dénuée de sens qui ressemble plus à un salmigondis d'inepties. L'outrance visuelle et la démesure du propos recherchées ne sont en fait que de vaines prétentions, tant les effets grossiers et le manque de maîtrise sont affligeants. A l'image du reste, l'interprétation s'avère insupportable.

Texte : Christian Depoorter

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