Le Mari de ma femme (Hard Promises)

Name: Mari de ma femme, Le
Director: Martin Davidson
Genre: Comédie sentimentale
Duration: 95 min.

É.-U. 1991. Comédie sentimentale de Martin Davidson avec William Petersen, Sissy Spacek, Brian Kerwin. Un homme est invité au mariage de sa propre femme qui a obtenu le divorce sans le prévenir. Possibilités comiques et sentimentales insuffisamment exploitées. Aspect artificiel des développements. Interprétation dégagée.

Le Mari de ma femme (Hard Promises)

Général

É.-U. 1991. Comédie sentimentale de Martin Davidson avec William Petersen, Sissy Spacek, Brian Kerwin.

Un homme est invité au mariage de sa propre femme qui a obtenu le divorce sans le prévenir. Possibilités comiques et sentimentales insuffisamment exploitées. Aspect artificiel des développements. Interprétation dégagée.

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Genre :

Comédie sentimentale

Année :

1991

Durée :

95 min.

Réalisation :

Martin Davidson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

William Petersen
Sissy Spacek
Brian Kerwin

Alors qu'il travaille à l'autre bout des Etats-Unis, Joey reçoit un faire-part annonçant le prochain mariage de sa femme. Accouru sur les lieux, il découvre que sa tendre moitié, lassée de ses absences interminables, a obtenu le divorce et a décidé de refaire sa vie avec quelqu'un de plus conformiste. A l'exception de sa fille Beth et de son copain Pinky, tout le monde semble souhaiter que Joey se retire discrètement. Cependant, ce dernier est bien déterminé à reconquérir sa belle, quitte pour cela à renier son goût pour la liberté et à se trouver un emploi stable à l'usine. Il ne lui reste que 24 heures avant la cérémonie de mariage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur ne semble pas avoir cherché à exploiter toutes les possibilités comiques et sentimentales qu'aurait offertes une observation amusée de l'évolution psychologique des personnages. Préférant broder sur des données acquises dès le départ, le récit ainsi simplifié mise avant tout sur l'habituelle relation amour/haine entre deux caractères opposés. Le ton sarcastique adopté réserve quelques agréables moments d'échanges verbaux mais l'ensemble éprouve de la difficulté à maintenir l'intérêt d'un bout à l'autre. Peut-être est-ce dû à l'aspect artificiel des développements ou bien au personnage même de Petersen qui, malgré une interprétation dégagée, paraît un peu falot. Les autres acteurs font également preuve d'un solide métier.

Texte : Christian Depoorter

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