Les Amis de mon fils (Bebe's Kids)

Name: Amis de mon fils, Les
Director: Bruce W. Smith
Genre: Dessins animés
Duration: 73 min.

É.-U. 1992. Dessins animés de Bruce W. Smith . À l'occasion d'une sortie romantique dans un parc d'attractions, un couple se retrouve flanqué de trois garnements qui mettent tout sens dessus dessous. Satire mordante de la culture des parcs d'attractions. Tribulations débridées à l'humour assez pesant. Ensemble fort coloré mais inégal au plan technique.

Les Amis de mon fils (Bebe's Kids)

Général

É.-U. 1992. Dessins animés de Bruce W. Smith .

À l'occasion d'une sortie romantique dans un parc d'attractions, un couple se retrouve flanqué de trois garnements qui mettent tout sens dessus dessous. Satire mordante de la culture des parcs d'attractions. Tribulations débridées à l'humour assez pesant. Ensemble fort coloré mais inégal au plan technique.

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Genre :

Dessins animés

Année :

1992

Durée :

73 min.

Réalisation :

Bruce W. Smith

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Affalé au comptoir d'un bar miteux, Robin Marris raconte à qui veut l'entendre sa rencontre avec la jolie Jamika. Ce gros baratineur a réussi à convaincre la belle à accepter une invitation pour une promenade romantique au parc d'attractions de Funland. Prévenu qu'elle amènerait son fils, Marris a cependant la désagréable surprise de constater que celui-ci est accompagné des trois insupportables enfants d'une amie. Arrivés à Funland, ces trois garnements décident de ne respecter aucun des règlements draconiens et de mettre tout sens dessus dessous, tandis que Marris conte fleurette à Jamika.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les BEBE'S KIDS sont une caricature de la jeunesse banlieusarde américaine imaginée par Robin Harris, un comédien décédé récemment qui est connu pour ses sketches comiques et pour sa collaboration à des films de Spike Lee. D'un ton résolument adulte, leurs aventures se présentent comme une satire mordante de la culture des parcs d'amusement. Le propos ne s'apparente pourtant pas à une véritable critique sociale car, tout au long de ces tribulations débridées, la forme a tendance à prendre le dessus sur le fond, privilégiant avant tout un humour assez pesant et les traditionnelles scènes de catastrophes en chaîne. L'ensemble se révèle fort coloré mais est loin d'atteindre la précision technique des grands studios. Le style rappelle l'univers underground d'un Bakshi revu et corrigé par l'esprit des "Simpson".

Texte : Christian Depoorter

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