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RoboCop 3

É.-U. 1992. Science-fiction de Fred Dekker avec Robert John Burke, Remy Ryan, Nancy Allen. Un policier mi-homme, mi-robot se joint à des résidents d'un quartier pauvre qui luttent contre des promoteurs immobiliers crapuleux. Utilisation parfois valable des archétypes du genre. Mise en scène faible. Interprétation manquant de nuance.

13 ans + (violence)
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RoboCop 3 (RoboCop 3)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1992. Science-fiction de Fred Dekker avec Robert John Burke, Remy Ryan, Nancy Allen.

Un policier mi-homme, mi-robot se joint à des résidents d'un quartier pauvre qui luttent contre des promoteurs immobiliers crapuleux. Utilisation parfois valable des archétypes du genre. Mise en scène faible. Interprétation manquant de nuance.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
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Musique :
Montage :
À Detroit, dans un proche avenir, la compagnie immobilière OCP, sous l'égide de ses nouveaux propriétaires nippons, déloge de force les habitants d'un quartier populaire en vue de construire une cité futuriste. Lors d'un raid effectué par la garde privée d'OCP, la petite Nikko se voit séparée de ses parents, mais est heureusement recueillie ensuite par une bande de résistants. Bernées par OCP, les forces de l'ordre de Détroit tentent d'appréhender ces activistes, mais le policier Robocop devine le bien-fondé des actions de ces derniers. Il se joint d'ailleurs à eux lorsque sa partenaire Anne est abattue par la milice des capitalistes. Lui-même blessé, il est sauvé par Nikko et le docteur Marie Lazarus, sa seule amie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce troisième volet des aventures de ROBOCOP n'est pas sans intérêt. Le récit imaginé par Frank Miller utilise à bon escient certains archétypes de la mythologie américaine, tels qu'exploités au cinéma et dans l'univers de la bande dessinée, tout en les subvertissant grâce à la philosophie socialisante qui sous-tend le discours du film. Malheureusement, la faiblesse de la mise en scène gâche le résultat d'ensemble. Les séquences d'introduction s'avèrent pesantes, les scènes d'action précipitées et les moments potentiellement émouvants bâclés. Le jeu des interprètes manque parfois de nuance.

Texte : Johanne Larue

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