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Passion d'amour (Passion Fish)

É.-U. 1992. Comédie dramatique de John Sayles avec Mary McDonnell, Alfre Woodard, David Strathairn. Victime d'un accident qui l'a condamnée au fauteuil roulant, une actrice aigrie s'attache à l'infirmière qui prend soin d'elle. Récit intimiste mettant l'accent sur la psychologie des personnages. Dialogues d'une belle finesse. Réalisation attentive aux sentiments évoqués. Interprétation excellente.

Général
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Passion d'amour (Passion Fish)

Général Général

É.-U. 1992. Comédie dramatique de John Sayles avec Mary McDonnell, Alfre Woodard, David Strathairn.

Victime d'un accident qui l'a condamnée au fauteuil roulant, une actrice aigrie s'attache à l'infirmière qui prend soin d'elle. Récit intimiste mettant l'accent sur la psychologie des personnages. Dialogues d'une belle finesse. Réalisation attentive aux sentiments évoqués. Interprétation excellente.

Année :
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Distributeur :
C/FP
A la suite d'un accident, May-Alice est condamnée au fauteuil roulant Elle quitte le téléroman dont elle était la vedette et se réfugie en Louisiane, dans la maison que lui ont léguée ses parents. Aigrie et désabusée, May-Alice mène la vie dure aux infirmières qui défilent à son emploi. Elle s'attache pourtant à la dernière, Chantelle, une jeune femme un peu mystérieuse que rien ne semble perturber. Celle-ci se remet pourtant d'une cure de désintoxication qui l'a séparée de sa fille unique. Touchée par les malheurs de son employée, May-Alice lui vient en aide. De son côté, Chantelle facilite les retrouvailles de sa patronne avec Rennie, un prétendant de jeunesse. Devenues amies, les deux femmes entrevoient ensemble des jours meilleurs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

'ordinaire les films de John Sayles possèdent une forte dimension sociologique qui s'articule autour du jeu d'ensemble de toute une brochette d'acteurs. Ici, le cinéaste indépendant a choisi une approche beaucoup plus intimiste. Le drame ne compte que deux personnages principaux et sa portée s'avère essentiellement psychologique. L'ensemble ne se distingue pas par son originalité, mais plutôt par la finesse des dialogues et l'excellente interprétation des actrices vedettes. Bien qu'assez conventionnelle, la réalisation demeure attentive aux sentiments évoqués dans le scénario.

Texte : Johanne Larue

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