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À contre-courant (Rowing Through)

Can. 1996. Drame sportif de Masato Harada avec Colin Ferguson, Leslie Hope, Peter Murnik. Après avoir raté les Jeux olympiques de Moscou à cause du boycott des États-Unis, un rameur tente de se qualifier pour ceux de Los Angeles quatre ans plus tard. Scénario tiré d'une histoire authentique. Construction laborieuse. Réalisation terne. Interprètes laissés à eux-mêmes.

13 ans +
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À contre-courant (Rowing Through)

13 ans + 13 ans +

Can. 1996. Drame sportif de Masato Harada avec Colin Ferguson, Leslie Hope, Peter Murnik.

Après avoir raté les Jeux olympiques de Moscou à cause du boycott des États-Unis, un rameur tente de se qualifier pour ceux de Los Angeles quatre ans plus tard. Scénario tiré d'une histoire authentique. Construction laborieuse. Réalisation terne. Interprètes laissés à eux-mêmes.

Genre :
Année :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Aska
Diplômé de Harvard, Tiff Wood se hisse parmi les meilleurs rameurs du monde et devient même favori pour la médaille d'or en aviron aux Jeux olympiques de Moscou. Mais le boycott américain le prive de son rêve. Avec l'aide de son amie Kate, qui projette d'écrire un livre sur lui et ses coéquipiers, et en dépit des années qui passent, il s'acharne à se tailler une place dans l'équipe américaine pour les Jeux de 1984 à Los Angeles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dommage que pour cette première coproduction canado-japonaise les auteurs n'aient fait qu'illustrer sans passion les principales étapes de la carrière sportive du rameur américain Christopher «Tiff» Wood. Le ressort dramatique, déjà faible, ne se trouve aucunement raffermi par une construction laborieuse; on entre dans le vif du sujet après quarante-cinq minutes de courtes scènes résumant dix années d'entraînement et de compétitions. Il faut vraiment être mordu d'aviron pour trouver un quelconque intérêt pour la suite du film. Ajoutons à cela un rythme inconstant, une musique sirupeuse, un montage laissant à désirer, des personnages dessinés à gros traits et une mise en scène sans imagination. Malgré les efforts de Colin Ferguson et James Hyndman pour mettre un peu de vie dans cette triste entreprise, les interprètes sont laissés à eux-mêmes. Seule la photographie de Sylvain Brault parvient à séduire les sens du spectateur.

Texte : Jean Beaulieu

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