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Sarafina!

Afr.S. 1992. Drame musical de Darrell James Roodt avec Leleti Khumalo, Whoopi Goldberg, Miriam Makeba. Une jeune Noire sud-africaine qui rêve de devenir une star participe à une rébellion d'étudiants qui protestent contre l'apartheid. Oeuvre aux intentions louables. Numéros musicaux un peu trop léchés. Clichés hollywoodiens fort apparents. Quelques passages poignants. Jeu senti de L. Khumalo.

13 ans + (violence)
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Sarafina! (Sarafina!)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Afr.S. 1992. Drame musical de Darrell James Roodt avec Leleti Khumalo, Whoopi Goldberg, Miriam Makeba.

Une jeune Noire sud-africaine qui rêve de devenir une star participe à une rébellion d'étudiants qui protestent contre l'apartheid. Oeuvre aux intentions louables. Numéros musicaux un peu trop léchés. Clichés hollywoodiens fort apparents. Quelques passages poignants. Jeu senti de L. Khumalo.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
Pour échapper aux dures réalités de l'apartheid, Sarafina rêve de devenir une star. Dans son monde chimérique, elle chante et danse pour la libération de son héros, Nelson Mandela. L'adolescente ne peut cependant fermer les yeux sur ce qui l'entoure. Certains de ses amis mettent le feu aux écoles, un acte de révolte que les autorités attribuent à l'influence néfaste de leur professeure d'histoire. Lorsque cette dernière se fait arrêter, la rébellion s'intensifie. Sarafina est séquestrée puis torturée mais garde l'espoir de voir son peuple s'affranchir du régime qui l'oppresse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le message de SARAFINA! est louable. Cependant les auteurs du film auraient pu tenter de réactualiser le discours de la pièce originale et surtout faire en sorte que l'impact émotif des numéros musicaux ne sort pas édulcoré par une mise en scène trop léchée. L'ensemble souffre de s'être assujetti au moule aseptisant de la machine hollywoodienne. Les arrangements musicaux qui travestissent les mélodies sud-africaines en chansons populaires américaines sont particulièrement navrants. Certaines scènes demeurent poignantes, surtout grâce au jeu très senti de la jeune Leleti Khumalo. Mis à part Whoopi Goldberg, les autres interprètes n'arrivent pas à transcender te carton-pâte de leurs personnages.

Texte : Johanne Larue

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