House Party 2

Name: House Party 2
Director: Doug McHenry, George Jackson
Genre: Comédie musicale
Duration: 94 min.

É.-U. 1991. Comédie musicale de Doug McHenry, George Jackson avec Christopher Reid, Christopher Martin, Tisha Campbell. Les mésaventures d'un jeune Noir ayant perdu l'argent qui devait lui servir à payer ses frais d'université. Problèmes sociaux abordés avec une certaine pertinence. Rythme enlevé. Réalisation vivante. Interprétation sympathique de C. Reid.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

House Party 2 (House Party 2)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1991. Comédie musicale de Doug McHenry, George Jackson avec Christopher Reid, Christopher Martin, Tisha Campbell.

Les mésaventures d'un jeune Noir ayant perdu l'argent qui devait lui servir à payer ses frais d'université. Problèmes sociaux abordés avec une certaine pertinence. Rythme enlevé. Réalisation vivante. Interprétation sympathique de C. Reid.

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Genre :

Comédie musicale

Année :

1991

Durée :

94 min.

Réalisation :

Doug McHenry
George Jackson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Christopher Reid
Christopher Martin
Tisha Campbell

Kid, un jeune Noir habitant un quartier ouvrier de Los Angeles, reçoit de sa communauté une bourse d'étude pour payer ses frais d'université. Malheureusement, il oublie le chèque dans la voiture d'un ami qui, à son tour, perd l'argent aux mains d'une jolie arnaqueuse qui se fait passer pour une productrice de disques. Craignant d'être expulsé pour non-paiement, victime du chantage d'un étudiant bien placé et délaissé par son amie de coeur, Kid se laisse entraîner dans une combine concoctée par son copain qui croit pouvoir amasser dix mille dollars en organisant une soirée dansante illégale sur le campus.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré son titre évocateur, HOUSE PARTY 2 se démarque des autres films du genre par son caractère éducatif. La construction des personnages est un peu superficielle mais le scénario qui met en situation de jeunes Noirs confrontés aux institutions (blanches), à la pauvreté et au non-respect de soi demeure probant. La réalisation est vivante et le rythme enlevé, même dans les séquences non musicales qui, par ailleurs, composent la majeure partie du film. Reid est sympathique et les réparties féministes de Queen Latifah, la reine du rap, offrent un contrepoint intéressant au sexisme de certaines situations.

Texte : Johanne Larue

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