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Les Imposteurs (The Impostors)

É.-U. 1998. Comédie burlesque de Stanley Tucci avec Stanley Tucci, Oliver Platt, Lily Taylor. Dans les années 1930, deux comédiens au chômage qui fuient la police s'embarquent clandestinement sur un paquebot. Farce sur le thème des faux-semblants. Ensemble amusant mais inégal. Réalisation soignée et vivante. Interprétation savoureuse.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Les Imposteurs (The Impostors)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1998. Comédie burlesque de Stanley Tucci avec Stanley Tucci, Oliver Platt, Lily Taylor.

Dans les années 1930, deux comédiens au chômage qui fuient la police s'embarquent clandestinement sur un paquebot. Farce sur le thème des faux-semblants. Ensemble amusant mais inégal. Réalisation soignée et vivante. Interprétation savoureuse.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
20th Century Fox
Dans les années 1930 à New York, Arthur et Maurice, deux comédiens au chômage, imaginent un stratagème pour obtenir des pâtisseries gratuites. Mais ils reçoivent plutôt deux billets pour une représentation de Hamlet mettant en vedette l'acteur anglais Jeremy Burtom, qu'ils méprisent. Dans un bar après la pièce, Burtom les accuse à tort de l'avoir agressé. Les deux compères en fuite s'embarquent alors clandestinement sur un paquebot et vivront une croisière fertile en surprises, d'autant plus que Burtom fait partie de la liste des passagers.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Encouragé par l'accueil enthousiaste réservé à BIG NIGHT, qu'il avait coréalisé avec Campbell Scott, l'acteur Stanley Tucci assume cette fois seul la mise en scène et l'écriture de THE IMPOSTORS. Farce burlesque sur le thème des faux-semblants, cette modeste production se présente comme un pastiche assez soigné des comédies américaines délirantes des années 1930 - en particulier celles de Laurel et Hardy et des frères Marx - doublé d'un hommage chaleureux au métier de comédien. Car outre les deux personnages principaux (solidement campés par S. Tucci et O. Platt), et leurs galères d'acteurs durant la Dépression, le film regorge de personnages excentriques et loufoques, qui constituent autant de savoureux contre-emplois pour des comédiens accomplis, au premier chef l'irrésistible composition de Campbell Scott dans le rôle du majordome allemand. Cependant, en dépit d'une réalisation assez vivante, le film ne satisfait pas pleinement, certaines scènes plus faibles et confuses s'étirent indûment, tandis que les gags sont loin d'être tous du même calibre. Amusant donc, mais inégal.

Texte : Louis-Paul Rioux

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