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Les Créatures maléfiques (Resident Evil)

É.-U. 2002. Drame d'horreur de Paul W.S. Anderson avec Milla Jovovich, Michelle Rodriguez, Eric Mabius. Un commando est dépêché dans un laboratoire souterrain dont les occupants ont été transformés en zombies par un mystérieux virus. Récit mené à fond de train mais sans grande originalité. Nombreux effets-chocs inégalement réussis. Un certain style dans la mise en images. Interprétation peu nuancée mais dynamique.

13 ans + (violence, horreur)
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Les Créatures maléfiques (Resident Evil)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2002. Drame d'horreur de Paul W.S. Anderson avec Milla Jovovich, Michelle Rodriguez, Eric Mabius.

Un commando est dépêché dans un laboratoire souterrain dont les occupants ont été transformés en zombies par un mystérieux virus. Récit mené à fond de train mais sans grande originalité. Nombreux effets-chocs inégalement réussis. Un certain style dans la mise en images. Interprétation peu nuancée mais dynamique.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Un mystérieux virus s'est répandu dans un immense centre de recherches souterrain appelé The Hive. Un commando d'agents armés et de scientifiques est dépêché sur les lieux afin d'enquêter sur la catastrophe. Cette mission est d'autant plus périlleuse que l'ordinateur central du laboratoire a enclenché un processus visant à sceller les lieux et à empêcher quiconque de quitter les installations vivant. L'équipe d'intervention découvre bientôt que la propagation du virus a transformé tous les occupants du laboratoire en zombies cannibales. Les militaires doivent donc rapidement battre en retraite. Mais d'autres surprises désagréables les attendent, résultats d'expériences innommables en mutations génétiques.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Inspiré d'un jeu vidéo très populaire et très violent, RESIDENT EVIL remet au goût du jour le bon vieux thème de l'invasion de morts-vivants. En fait, les cadavres mangeurs de chair humaine qui sévissent dans cette production semblent tout droit sortis des films de George Romero, mais le contexte futuriste du récit n'a plus rien à voir avec celui, plus contemporain et terre-à-terre, des films de l'auteur de NIGHT OF THE LIVING DEAD. Pour le reste, on a droit à une intrigue généreuse en clichés et en rebondissements prévisibles, mais menée à fond de train et parsemée d'effets-chocs. Ces derniers ne sont pas réussis outre mesure, mais pourront impressionner les spectateurs les plus sensibles. Le réalisateur Paul W.S. Anderson (à ne pas confondre avec Paul T. Anderson, l'auteur de MAGNOLIA), ne se casse pas les méninges pour rendre tout cela très original, mais il s'efforce quand même d'injecter un certain degré de style dans sa mise en images. Le résultat ressemble à une sorte de vidéoclip d'horreur très léché et rythmé, qui parviendra sans doute à satisfaire les amateurs du genre. Les interprètes jouent avec plus de vigueur que de nuances des personnages unidimensionnels.

Texte : Martin Girard

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