Son Alibi (Her Alibi)

Name: Son Alibi
Director: Bruce Beresford
Genre: Comédie policière
Duration: 95 min.

É.-U. 1989. Comédie policière de Bruce Beresford avec Tom Selleck, Paulina Porizkova, William Daniels. Séduit par une jeune Roumaine accusée de meurtre, un romancier à court d'idées lui offre d'être son alibi. Scénario incohérent et invraisemblable. Mise en scène inégale. Montage serré. Interprétation peu satisfaisante.

Son Alibi (Her Alibi)

Général

É.-U. 1989. Comédie policière de Bruce Beresford avec Tom Selleck, Paulina Porizkova, William Daniels.

Séduit par une jeune Roumaine accusée de meurtre, un romancier à court d'idées lui offre d'être son alibi. Scénario incohérent et invraisemblable. Mise en scène inégale. Montage serré. Interprétation peu satisfaisante.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1989

Durée :

95 min.

Réalisation :

Bruce Beresford

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Tom Selleck
Paulina Porizkova
William Daniels

Nina Ionescu, une jeune Roumaine accusée de meurtre, est séquestrée dans une prison américaine. Philip Blackwood, un romancier à court d'idées, séduit par l'air angélique de la jeune femme, se déguise en prêtre pour la rencontrer et lui offre d'être son alibi. Nina accepte de le suivre quand elle se voit pourchassée par des agents du KGB. La croyant vraiment coupable, Philip interprète chacun des gestes de Nina comme autant de tentatives de meurtre. Le romancier transpose sa vie avec elle pour en faire la matière d'un thriller où les péripéties ne soient pas trop prévisibles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'incohérence du scénario et son invraisemblance font de ce film une suite ridicule de gags tarte à la crème. Le film s'ouvre sur une accusation de meurtre. On joue sur cette situation pendant quelques temps puis on verse sans préavis dans une histoire d'acrobates roumains qui veulent faire défection. On règle I affaire de meurtre à la fin en deux ou trois répliques très peu réalistes. L'attention est pourtant maintenue grâce à un montage serré. Chaque séquence peut être intéressante à condition de ne pas trop y chercher de sens. Paulina Porizkova a la froideur et la manque d'exoression d'un mannequin de plâtre et Tom Selleck est égal à lui-même.

Texte : Sylvie Beaupré

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