La Grande Classe (Class Act)

Name: Grande Classe, La
Director: Randall Miller
Genre: Comédie
Duration: 98 min.

É.-U. 1992. Comédie de Randall Miller avec Christopher Reid, Christopher Martin, Jack Gibson. A la suite d'une interversion de dossiers scolaires, un génie échoue dans une classe de délinquants tandis qu'une brute se retrouve parmi des surdoués. Humour burlesque sans grande finesse. Quelques passages savoureux. Mise en scène bousculée. Jeu bouffon des protagonistes.

La Grande Classe (Class Act)

Général

É.-U. 1992. Comédie de Randall Miller avec Christopher Reid, Christopher Martin, Jack Gibson.

A la suite d'une interversion de dossiers scolaires, un génie échoue dans une classe de délinquants tandis qu'une brute se retrouve parmi des surdoués. Humour burlesque sans grande finesse. Quelques passages savoureux. Mise en scène bousculée. Jeu bouffon des protagonistes.

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Genre :

Comédie

Année :

1992

Durée :

98 min.

Réalisation :

Randall Miller

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Christopher Reid
Christopher Martin
Jack Gibson

Le génie Duncan fréquente le même lycée que la brute Blade. Par mégarde, leurs dossiers scolaires ont été intervertis, ce qui a pour effet d'expédier Duncan dans une classe de rattrapage pour jeunes délinquants et d'inviter Blade à rejoindre un cours pour surdoués, Blade comprend vite l'intérêt qu'il peut retirer de la situation. Il oblige donc Duncan à continuer le jeu et va jusqu'à lui procurer des gardes du corps pour assurer sa réputation de costaud. Alors qu'ils sympathisent avec des filles à l'opposé de leur genre, les deux adolescents doivent affronter un dealer qui n'apprécie pas que le faux Blade lui fasse de l'ombre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le ton adopté par les deux vedettes, membres du groupe de musique rap "Kid'n'Play", rappelle les duos savoureuse ment antagonistes d'Abbott et Costello ou de Laurel et Hardy. Si les gags de ce film s'apparentent à l'esprit burlesque de ces classiques, l'humour "high school" utilisé ne dénote pas toujours un grand sens de la finesse, même s'il réussit à faire mouche à l'occasion. La mise en scène bousculée donne l'impression de suivre plus le rythme de la musique que les péripéties de l'intrigue. Cette dernière d'ailleurs est bâtie sur un schéma des plus familiers et sert surtout à mettre en valeur le flot de bouffonneries déversé par les principaux protagonistes.

Texte : Christian Depoorter

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