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La Machine infernale (The Mangler)

Mardi 07 Mai à 08:15 | Frissons TV

É.-U. 1994. Drame d'horreur de Tobe Hooper avec Ted Levine, Robert Englund, Daniel Matmor. Animée d'une vie propre maléfique, une immense essoreuse à vapeur sème la terreur parmi les employés d'une blanchisserie industrielle. Récit absurde traité avec un certain sens de l'humour. Situations parfois ridicules. Conception visuelle assez inventive. Interprétation dans le ton voulu.

13 ans + (horreur)
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La Machine infernale (The Mangler)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1994. Drame d'horreur de Tobe Hooper avec Ted Levine, Robert Englund, Daniel Matmor.

Animée d'une vie propre maléfique, une immense essoreuse à vapeur sème la terreur parmi les employés d'une blanchisserie industrielle. Récit absurde traité avec un certain sens de l'humour. Situations parfois ridicules. Conception visuelle assez inventive. Interprétation dans le ton voulu.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
D'après l'oeuvre de Stephen King
Pays :
Distributeur :
Alliance
William Gartley, un vieillard aux nombreuses déformations physiques, traite durement les employés de sa blanchisserie industrielle. Ainsi, il ne s'émeut pas outre mesure lorsqu'une de ses travailleuses est broyée vivante par une immense essoreuse à vapeur. Les circonstances bizarres de cet accident provoquent cependant une enquête. Avec l'aide d'un expert en sciences occultes, le détective chargé de l'affaire découvre que cette machine maléfique est douée d'une vie propre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien connu des amateurs de fantastique pour avoir tourné le célèbre MASSACRE À LA TRONÇONNEUSE, Tobe Hooper a cependant connu son plus grand succès lorsqu'il a signé POLTERGEIST pour le producteur Steven Spielberg. Malheureusement sa carrière a décliné par la suite, et ce n'est pas ce nouveau film qui va lui donner un second souffle. La conception visuelle de l'essoreuse mutilatrice au centre de ce récit absurde se révèle pourtant fort réussie. Hooper prend d'ailleurs un plaisir évident à filmer cet instrument quasi surréaliste. Mais le cinéaste a beau multiplier les angles insolites, parfois même inventifs, cela ne compense pas vraiment le ridicule des situations. Heureusement, comme il en a l'habitude, Hooper aborde son film avec un certain sens de l'humour et le jeu des interprètes va dans le même sens.

Texte : Martin Girard

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