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Trou de Mémoire (Clean Slate)

É.-U. 1994. Comédie satirique de Mick Jackson avec Dana Carvey, Valeria Golino, James Earl Jones. Un policier qui souffre d'amnésie chronique est assigné comme témoin d'un meurtre lors du procès d'un caïd. Ton débridé et outrancier cultivant un humour de potache. Mise en scène reposant sur une agitation lassante. Interprétation fort quelconque.

Général
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Trou de Mémoire (Clean Slate)

Général Général

É.-U. 1994. Comédie satirique de Mick Jackson avec Dana Carvey, Valeria Golino, James Earl Jones.

Un policier qui souffre d'amnésie chronique est assigné comme témoin d'un meurtre lors du procès d'un caïd. Ton débridé et outrancier cultivant un humour de potache. Mise en scène reposant sur une agitation lassante. Interprétation fort quelconque.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
MGM
Souffrant d'un type particulier d'amnésie, le détective privé Maurice Pogue se réveille chaque matin en se demandant qui 11 est et où il est. Grâce aux enregistrements faits le Jour précédent, Il apprend qu'il est assigné comme témoin d'un meurtre lors du prochain procès du caïd Cornell. Sa vie étant menacée, le privé sent qu'il doit continuer le jeu. Jusqu'au bout, ne fût-ce que pour les beaux yeux de Sarah, l'ancienne maîtresse de Cornell qui vient de surgir dans son bureau. Celle-ci serait pourchassée par le bandit pour lui avoir dérobé une pièce de monnaie fort précieuse. Le hic dans tout cela, c'est que Pogue apprend par ses amis policiers qu'il a assisté au meurtre de la fameuse Sarah.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Poursuivant sur sa lancée de WAYNE'S WORLD, Dana Carvey compose une nouvelle fois un personnage falot qui en rappelle bien d'autres. Le ton de cette comédie se veut débridé et outrancier, à la manière de la revue satirique NATIONAL LAMPOON. Malheureusement, les auteurs assènent à coups de butoir un humour de potache dont l'originalité et la subtilité ne sont certes pas les premières qualités. Les emprunts à la kyrielle de films du genre sont légion et lassent rapidement, au même titre que l'agitation de la mise en scène. Ce faux-semblant de mouvement tente vainement d'imprimer un rythme au film que ni le scénario approximatif ni l'interprétation fort quelconque n'arrivent à insuffler.

Texte : Christian Depoorter

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