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Une Faveur, une montre et un très gros poisson (The Favour, the Watch and the Very Big Fish)

Fr. 1991. Comédie de moeurs de Ben Lewin avec Bob Hoskins, Jeff Goldblum, Natasha Richardson. Un photographe de scènes pieuses convainc un ex-détenu excentrique qui ressemble au Christ de poser pour lui. Scénario dispersé. Intérêt plus ou moins soutenu. Humour insolite. Réalisation assez soignée. Bonne équipe d'interprètes.

13 ans +
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Une Faveur, une montre et un très gros poisson (The Favour, the Watch and the Very Big Fish)

13 ans + 13 ans +

Fr. 1991. Comédie de moeurs de Ben Lewin avec Bob Hoskins, Jeff Goldblum, Natasha Richardson.

Un photographe de scènes pieuses convainc un ex-détenu excentrique qui ressemble au Christ de poser pour lui. Scénario dispersé. Intérêt plus ou moins soutenu. Humour insolite. Réalisation assez soignée. Bonne équipe d'interprètes.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Un acteur malade demande à Louis, photographe spécialisé dans les images pieuses, de le remplacer durant le doublage d'un film porno. Sur place, Louis connaît le coup de foudre pour Sybil, une chômeuse désemparée qui lui confie son incroyable histoire d'amour avec un pianiste doué mais déprimé et jaloux. Ce dernier étant libéré de prison le lendemain, Sybil demande à Louis de l'attendre à ses côtés. Hélas, elle n'est pas au rendez-vous. Désespéré, le photographe rencontre par hasard le pianiste qui s'avère exactement le sosie de Jésus qu'il cherche pour ses clichés. Bien que devenu son ami, le pianiste pique une terrible crise de jalousie lorsqu'il découvre l'amour secret de Louis pour Sybil.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Réussir à adapter au cinéma la fantaisie de Marcel Aymé n'est pas chose aisée. Il faut une vivacité narrative propre à faire passer la folie du texte. Ici, la fantaisie abonde mais la mise en scène est imprécise et le montage manque de rythme. En dépit de la photographie vraiment magnifique et des comédiens parfaitement dans la note, l'intérêt du spectateur s'étiole peu à peu. Certes, l'ensemble possède du charme et de l'inventivité, mais il souffre d'une trame narrative floue et la démesure de certaines scènes ne provoque pas l'effet comique souhaité. On ne peut alors qu'admirer la maîtrise des cadrages, le lyrisme de certaines figures et l'ironie pratiquée avec à-propos.

Texte : Sylvie Gendron

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