L'Échelle de Jacob (Jacob's Ladder)

Name: Échelle de Jacob, L'
Director: Adrian Lyne
Genre: Drame fantastique
Duration: 115 min.

É.-U. 1990. Drame fantastique de Adrian Lyne avec Tim Robbins, Elizabeth Pena, Danny Aiello. Un facteur new-yorkais souffrant d'hallucinations est convaincu que ses maux proviennent d'une épreuve subie durant la guerre du Vietnam. Histoire prenante. Traitement fantasmagorique adroit mais peu clair sur le plan dramatique. Interprétation méritoire.

L'Échelle de Jacob (Jacob's Ladder)

13 ans + (violence)

É.-U. 1990. Drame fantastique de Adrian Lyne avec Tim Robbins, Elizabeth Pena, Danny Aiello.

Un facteur new-yorkais souffrant d'hallucinations est convaincu que ses maux proviennent d'une épreuve subie durant la guerre du Vietnam. Histoire prenante. Traitement fantasmagorique adroit mais peu clair sur le plan dramatique. Interprétation méritoire.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1990

Durée :

115 min.

Réalisation :

Adrian Lyne

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Tim Robbins
Elizabeth Pena
Danny Aiello

Exerçant le métier de facteur à New York, Jacob Singer est l'objet de fréquentes hallucinations et de rêves déroutants. Sa compagne, la pétulante Jezzie, et son ami chiropraticien Louis tentent de lui venir en aide sans grand succès. A l'occasion de la mort d'un camarade de combat, Jacob retrouve d'autres compagnons de régiment qui se disent sujets à des phénomènes semblables aux siens. Avec eux, il veut instituer un recours collectif mais l'avocat auquel il s'adresse prétend que l'armée lui a affirmé que Jacob n'a jamais servi au Vietnam. Singer reste convaincu que ses fantasmes viennent d'une épreuve subie à la guerre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur de FATAL ATTRACTION s'est efforcé de créer un monde fantasmagorique à partir de thèmes contestataires mis de l'avant au cours des dernières années. Le spectateur a droit à des scènes hallucinatoires assez bien réalisées techniquement mais peu claires sur le plan dramatique. Les rêves s'emboîtent les uns dans les autres dans un assemblage difficultueux et la conclusion vient démolir la construction narrative précaire mise en place tout au long du film. Il en résulte une oeuvre confuse, prétentieuse et illogique qui ne supporte guère l'examen critique. Malgré son talent, Tim Robbins ne fait pas le poids dans cet univers par trop gratuit.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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