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Event Horizon: Le Vaisseau de l'au-delà (Event Horizon)

É.-U. 1997. Science-fiction de Paul W.S. Anderson avec Laurence Fishburne, Sam Neill, Kathleen Quinlan. En 2047, l'équipage d'un vaisseau retrouve près de Neptune l'épave d'une base spatiale hantée par des pouvoirs maléfiques. Réflexion sommaire sur l'ailleurs et l'au-delà. Scénario connu. Décors impressionnants. Abus d'effets-chocs gratuits. Acteurs sous-utilisés.

16 ans + (horreur)
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Event Horizon: Le Vaisseau de l'au-delà (Event Horizon)

16 ans + (horreur) 16 ans + (horreur)

É.-U. 1997. Science-fiction de Paul W.S. Anderson avec Laurence Fishburne, Sam Neill, Kathleen Quinlan.

En 2047, l'équipage d'un vaisseau retrouve près de Neptune l'épave d'une base spatiale hantée par des pouvoirs maléfiques. Réflexion sommaire sur l'ailleurs et l'au-delà. Scénario connu. Décors impressionnants. Abus d'effets-chocs gratuits. Acteurs sous-utilisés.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
En 2047, l'équipage d'un vaisseau spatial est envoyé en orbite autour de Neptune, dans le but d'y retrouver le Event Horizon, disparu 7 ans plus tôt. Le capitaine Miller partage les commandes avec le docteur Weir, concepteur de l'aéronef disparu, qui lui explique que celui-ci est équipé d'une porte magnétique servant à traverser l'espace-temps. Le Event Horizon est retrouvé presqu'intact, mais des forces maléfiques ne tardent pas à se manifester auprès des visiteurs, qui comprendront trop tard que la porte conduit dans un univers de pur chaos.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À l'image de Contact, Event Horizon explore la rencontre de l'ailleurs et de l'au-delà, de la science et des croyances. Le film de Paul Andersen ne pousse cependant pas plus avant la réflexion qu'il amorce, se contentant d'enfiler avec régularité des scènes brutales et des accalmies, au gré d'un scénario-courtepointe formé de fragments et d'idées hérités des précédents films du genre. C'est ainsi qu'il mise davantage sur l'efficacité de chaque instant que sur la cohésion de l'ensemble. Ce à quoi la mise en scène répond par une égale insouciance du détail et une propension à maximiser l'usage de décors par ailleurs plutôt inventifs. D'autre part, la machine dramatique repose essentiellement sur l'usage abusif du son et de la musique afin de procurer les effets-chocs souhaités. Des acteurs de bon calibre campent des personnages étriqués et interchangeables.

Texte : Martin Bilodeau

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