Le Continent oublié (The People That Time Forgot)

Name: Continent oublié, Le
Director: Kevin Connor
Genre: Aventures
Duration: 90 min.

G.-B. 1977. Aventures de Kevin Connor avec Patrick Wayne, Sarah Douglas, David Prowse. Un officier organise une expédition dans les régions de l'Antarctique afin d'y retrouver un vieil ami. Suite à "The Land That Time Forgot". Aventures fantastiques quelque peu naïves. Un certain esprit d'invention dans la mise en images. Interprétation satisfaisante.

Le Continent oublié (The People That Time Forgot)

Général

G.-B. 1977. Aventures de Kevin Connor avec Patrick Wayne, Sarah Douglas, David Prowse.

Un officier organise une expédition dans les régions de l'Antarctique afin d'y retrouver un vieil ami. Suite à "The Land That Time Forgot". Aventures fantastiques quelque peu naïves. Un certain esprit d'invention dans la mise en images. Interprétation satisfaisante.

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Genre :

Aventures

Année :

1977

Durée :

90 min.

Réalisation :

Kevin Connor

Scénario :

Patrick Tilley
D'après le roman de Edgar Rice Burroughs

Photographie :

Alan Hume

Musique :

John Scott

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Ambassador

Interprètes :

Patrick Wayne
Sarah Douglas
David Prowse
Thorley Walters

Le major McBride organise une expédition pour rejoindre le pays mystérieux de Caprona dans les régions de l'Antarctique afin d'y retrouver un vieil ami, Tyler. Franchissant en hydravion une haute chaîne de montagnes, il parvient avec trois compagnons à une région tempérée où errent des animaux préhistoriques et des tribus primitives. Capturés par les Na-gas, les voyageurs sont conduits au repaire de cette horde où Tyler est aussi prisonnier. Ils s'échappent avec son aide et parviennent à rejoindre la civilisation alors que Caprona est détruit par une éruption volcanique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette aventure fait suite à THE LAND THAT TIME FORGOT, film réalisé par la même équipe il y a trois ans. On s'y retrouve dans le même esprit d'aventures fantastiques quelque peu naïves, mais mises en images avec un certain esprit d'invention. Cela fait penser à ces films à épisodes des années 30 avec dangers successifs à la clé. Il y a suffisamment de mouvement et de couleur pour faire oublier le simplisme de l'affabulation et les artificiers s'en donnent à coeur joie dans les dernières séquences. L'interprétation s'avère satisfaisante sans plus.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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