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Les Vrais Durs ne dansent pas (Tough Guys Don't dance)

É.-U. 1987. Drame policier de Norman Mailer avec Ryan O'Neal, Isabella Rossellini, Wings Hauser. Emergeant difficilement d'une cuite monumentale, un écrivain tente de faire le point sur les tragiques événements qui ont précédé le départ de sa femme. Préoccupations métaphysiques mêlées à divers clichés de films noirs. Récit plus confus que captivant. Interprétation convaincante. (sortie en salle: 16 octobre 2008)

En attente de classement
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Les Vrais Durs ne dansent pas (Tough Guys Don't dance)

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É.-U. 1987. Drame policier de Norman Mailer avec Ryan O'Neal, Isabella Rossellini, Wings Hauser.

Emergeant difficilement d'une cuite monumentale, un écrivain tente de faire le point sur les tragiques événements qui ont précédé le départ de sa femme. Préoccupations métaphysiques mêlées à divers clichés de films noirs. Récit plus confus que captivant. Interprétation convaincante. (sortie en salle: 16 octobre 2008)

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Distributeur :
Astral
L'écrivain Tim Madden se réveille un beau matin dans sa luxueuse villa, nanti d'un tatouage qu'il ne se connaissait pas. Sa femme Patty a disparu et il y a du sang sur le siège de sa voiture. Ayant découvert dans la maison son père malade, Madden tente de faire le point avec lui sur un passé récent. Il se souvient vaguement que Patty est partie il y a trois semaines avec son chauffeur, qu'il a eu des ennuis avec Regency, le chef de police local et l'époux de Madeline qui fut sa première femme. Il était question de trafic de drogues et il y a eu des morts en cours de route. Ces réminiscences l'incitent à chercher des éclaircissements chez diverses personnes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur déjà de quelques films marginaux, l'écrivain Norman Mailer a eu cette fois l'appui de producteurs généreux pour transformer un de ses romans en production d'envergure. On ne peut dire que le résultat soit un plein succès. Il y a des aspects intéressants alors que l'auteur mêle des préoccupations métaphysiques à divers clichés des films noirs. Mais tout cela apparaît plus confus que captivant. Des passages fascinants surgissent à l'occasion et les acteurs jouent avec un certain flair.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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