Howard, une nouvelle race de héros (Howard the Duck)

Name: Howard, une nouvelle race de héros
Director: Willard Huyck
Genre: Science-fiction
Duration: 111 min.

É.-U. 1986. Science-fiction de Willard Huyck avec Lea Thompson, Jeffrey Jones, Tim Robbins. Une jeune chanteuse et un professeur, qui veulent aider un canard à regagner sa planète d'origine, doivent affronter un monstre extraterrestre. Adaptation laborieuse d'une bande dessinée. Quelques moments savoureux. Développements éculés. Trucages lourds. Interprétation moyenne.

Howard, une nouvelle race de héros (Howard the Duck)

Général

É.-U. 1986. Science-fiction de Willard Huyck avec Lea Thompson, Jeffrey Jones, Tim Robbins.

Une jeune chanteuse et un professeur, qui veulent aider un canard à regagner sa planète d'origine, doivent affronter un monstre extraterrestre. Adaptation laborieuse d'une bande dessinée. Quelques moments savoureux. Développements éculés. Trucages lourds. Interprétation moyenne.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1986

Durée :

111 min.

Réalisation :

Willard Huyck

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Lea Thompson
Jeffrey Jones
Tim Robbins

Un canard appelé Howard est enlevé à sa planète d'origine et transporté sur la Terre où il aboutit dans une ruelle de Cleveland. Il vient au secours de Beverly, une jeune chanteuse attaquée par des voyous, et celle-ci entreprend de l'aider à regagner sa planète. Le professeur Jenning, qui est à l'origine du curieux voyage d'Howard, accepte de le retourner chez lui par le même moyen. Cependant, un dangereux monstre extraterrestre s'empare du corps du savant et veut se servir de son invention pour faire venir des congénères sur la Terre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film, produit par George Lucas, fait revivre un personnage de bandes dessinées qui a connu son heure de gloire dans les années 1970. Les premières minutes qui évoquent brièvement une civilisation palmipède semblable à celle des humains ne manquent pas d'humour et les efforts du héros pour se faire accepter par les hommes sont parfois savoureux, mais les choses se gâtent lorsque le scénario se met à développer un schème éculé de science-fiction. Le récit devient alors laborieux et les trucages se font lourds. Finalement on pourrait parler d'une montagne d'effets spéciaux qui enfante d'un caneton. L'interprétation est trop souvent subordonnée à la technique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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