She's Gotta Have It

Name: She's Gotta Have It
Director: Spike Lee
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 89 min.

É.-U. 1986. Comédie de moeurs de Spike Lee avec Tracy Camilla Johns, Tommy Redmond Hicks, Spike Lee. Une jeune Noire de New York tente en vain de créer une entente entre ses trois amoureux. Regard satirique. Style simili-documentaire efficace et primesautier. Mise en scène inspirée. Spontanéité affectée de l'interprétation.

She's Gotta Have It (She's Gotta Have It)

13 ans +

É.-U. 1986. Comédie de moeurs de Spike Lee avec Tracy Camilla Johns, Tommy Redmond Hicks, Spike Lee.

Une jeune Noire de New York tente en vain de créer une entente entre ses trois amoureux. Regard satirique. Style simili-documentaire efficace et primesautier. Mise en scène inspirée. Spontanéité affectée de l'interprétation.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1986

Durée :

89 min.

Réalisation :

Spike Lee

Photographie :

Ernest Dickerson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Tracy Camilla Johns
Tommy Redmond Hicks
Spike Lee

Nola Darling, une jeune Noire de New York, se partage entre trois amants: Jamie Overstreet, un garçon bien éduqué et réservé, Greer Childs, un culturiste narcissique et Mars Blackmon, un petit débrouillard au verbe facile. Elle tente de créer une entente entre ses amoureux, en les réunissant pour un repas, mais la bisbille se met dans le groupe et tous trois l'abandonnent. Nola tente alors pour un certain temps de se passer d'aventures sentimentales, puis elle renoue avec Jamie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tourné avec des moyens modestes par un jeune cinéaste de race noire, ce film jette un regard satirique sur la réputation amoureuse des gens de couleur. Adoptant un style simili-documentaire, l'auteur semble donner la parole aux divers personnages dans une suite de scènes primesautières où chacun s'exprime avec une certaine verve. Devant la variété des plans et l'aisance du déroulement, on est surpris d'apprendre que le tout a été filmé en moins de trois semaines. Si l'approche reste assez superficielle, la mise en scène révèle un auteur à suivre. L'interprétation n'est pas cependant d'une qualité égale dans la spontanéité affectée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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