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La Cellule (The Cell)

É.-U. 2000. Science-fiction de Tarsem Singh avec Jennifer Lopez, Vince Vaughn, Vincent D'Onofrio. Grâce à une technique révolutionnaire, une psychologue pénètre dans l'esprit d'un tueur en série comateux afin de découvrir où il a séquestré sa dernière victime. Scénario bien ficelé. Illustration saisissante de mondes oniriques. Effets parfois appuyés. Rythme soutenu. Jeu d'ensemble solide.

13 ans + (violence, horreur)
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La Cellule (The Cell)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2000. Science-fiction de Tarsem Singh avec Jennifer Lopez, Vince Vaughn, Vincent D'Onofrio.

Grâce à une technique révolutionnaire, une psychologue pénètre dans l'esprit d'un tueur en série comateux afin de découvrir où il a séquestré sa dernière victime. Scénario bien ficelé. Illustration saisissante de mondes oniriques. Effets parfois appuyés. Rythme soutenu. Jeu d'ensemble solide.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
La psychologue Catherine Dean expérimente une nouvelle technique médicale pour traiter les malades catatoniques. Grâce à un appareil révolutionnaire, elle pénètre leur esprit et tente de les ramener dans le monde réel. Peter Novak, un agent du FBI, s'adresse à elle pour tenter de découvrir l'endroit où le tueur en série Carl Stargher, plongé dans le coma, a caché sa dernière victime, qui n'a plus que quelques heures à vivre. Mais l'esprit de Stargher renferme des visions horribles qui risquent de déstabiliser la conscience de Catherine.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette production ne révolutionnera pas le genre au niveau du récit, puisqu'elle fusionne plusieurs éléments déjà rencontrés dans THE SILENCE OF THE LAMBS, DREAMSCAPE, THE LAWNMOWER et THE MATRIX. En fait, l'ensemble fait penser à un épisode de THE X-FILES sur l'acide! Ainsi, le parallèle entre le travail de l'héroïne et l'enquête du FBI s'avère plutôt forcé et les effets de style sont parfois appuyés, mais il faut admettre que le scénario demeure bien ficelé et que la réalisation offre une illustration saisissante de trois mondes oniriques très différents. Profitant d'une direction artistique foisonnante qui étale sur l'écran une riche palette de couleurs et de formes, le réalisateur Tarsem Singh, dont c'est le premier film, démontre un sens de l'image et une assurance peu communes. Grâce à un rythme soutenu par un montage serré, le film réussit à entraîner le spectateur dans des visions perturbantes qui étonnent tant par leur cruauté que par leur beauté. Le tout se termine dans un crescendo d'une surprenante cohérence. L'ensemble de la distribution offre un jeu solide et sincère.

Texte : André Caron

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