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Le Justicier d'acier (Steel)

É.-U. 1997. Science-fiction de Kenneth Johnson avec Shaquille O'Neal, Annabeth Gish, Richard Roundtree. Un justicier doté d'une armure d'acier entre en lutte contre un criminel qui a mis au point une arme redoutable. Adaptation élémentaire d'une bande dessinée. Scénario laborieux et sans imagination. Réalisation lourde. Interprétation médiocre du protagoniste.

13 ans + (violence)
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Le Justicier d'acier (Steel)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1997. Science-fiction de Kenneth Johnson avec Shaquille O'Neal, Annabeth Gish, Richard Roundtree.

Un justicier doté d'une armure d'acier entre en lutte contre un criminel qui a mis au point une arme redoutable. Adaptation élémentaire d'une bande dessinée. Scénario laborieux et sans imagination. Réalisation lourde. Interprétation médiocre du protagoniste.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Spécialiste en armement militaire, John Henry quitte l'armée après qu'un accident causé par une arme expérimentale ait rendu infirme sa collègue Susan. Installé à Los Angeles, John découvre qu'un ancien collègue, Nathaniel Burke, refile ses inventions ultra secrètes à des terroristes. Avec l'aide de Susan et de son oncle ferrailleur, John décide alors de créer Steel, un super héros sans peur qui combat le crime en armure d'acier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans les années 1970, Hollywood a découvert qu'il pouvait être profitable de produire des films de série destinés tout particulièrement au public de race noire. Cette vague de films, connu sous le terme de "Blaxploitation", nous a donné des oeuvres comme BLACULA et BLACKENSTEIN. Depuis cette époque, des cinéastes comme Spike Lee ou John Singleton ont rendu ses lettres de noblesse au cinéma afro-américain. Mais avec STEEL, on se croirait revenu vingt ans en arrière. En effet, la seule distinction de cette production routinière est de transposer tous les clichés habituels du cinéma de super-héros dans un milieu noir. Le rôle principal a d'ailleurs été confié à une vedette de basket-ball, véritable idole des jeunes Afro-américains. Évidemment, ça ne fait pas pour autant un bon film, bien au contraire. Presque totalement dépourvu d'imagination, le scénario progresse laborieusement (le héros de fer ne se manifeste qu'après une heure) et ne réserve aucune surprise. La réalisation est d'une égale lourdeur et l'interprétation de la vedette s'avère médiocre.

Texte : Martin Girard

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