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Un Simple Souhait (A Simple Wish)

É.-U. 1997. Comédie fantaisiste de Michael Ritchie avec Martin Short, Mara Wilson, Kathleen Turner. Un magicien novice plonge une fillette dans une suite de mésaventures en voulant exaucer son souhait le plus cher. Spectacle charmant et très coloré. Ressorts dramatiques assez convenus. Réalisation vivante. Interprétation enjouée.

Général
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Un Simple Souhait (A Simple Wish)

Général Général

É.-U. 1997. Comédie fantaisiste de Michael Ritchie avec Martin Short, Mara Wilson, Kathleen Turner.

Un magicien novice plonge une fillette dans une suite de mésaventures en voulant exaucer son souhait le plus cher. Spectacle charmant et très coloré. Ressorts dramatiques assez convenus. Réalisation vivante. Interprétation enjouée.

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Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Universal
Murray, un gentil hurluberlu, réussit à se faire admettre dans une association de fées à New York. Pour sa première mission, il doit exaucer le souhait de la petite Anabel, faire obtenir à son père veuf le rôle principal d'une comédie musicale à Broadway. Mais le maladroit Murray ne parvient qu'à changer le père d'Anabel en statue de marbre. Or, si à minuit ce sort n'est pas levé, le pauvre homme restera statufié pour toujours. Et pour compliquer les choses, la méchante fée Claudia convoite la baguette magique de Murray pour assurer sa domination sur le monde.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sans crier au génie, voilà un divertissement familial qui se présente comme un spectacle charmant et très coloré. Les trouvailles comiques s'y retrouvent nombreuses, le plus souvent générées par des effets spéciaux assez efficaces. L'idée de départ, faire jouer le rôle de la traditionnelle fée à un homme, apparaît des plus biscornues, mais il faut admettre que ce flash scénaristique est insuffisamment exploité, alors que les ressorts dramatiques de l'intrigue apparaissent dans l'ensemble plutôt convenus. D'autre part, la séquence d'affrontement entre le bon magicien et la méchante sorcière, bien que riche en éléments visuels surprenants et en gags de toutes sortes, a tendance à s'étirer indûment, rendant plus mous les effets de suspense liés à la situation du père statufié. Mais pour les jeunes spectateurs, ces quelques réserves pèseront bien peu et ne les empêcheront pas de passer un agréable moment, la réalisation s'avérant suffisamment vivante et la mise en images souvent imaginative. Martin Short livre une performance loufoque au sein d'une distribution enjouée.

Texte : Louis-Paul Rioux

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